Mercredi 14 août 3 14 /08 /Août 15:08

Des fantasmes, j'en ai bien oui, mais ils restent vagues... ou plutôt, je ne suis pas sûre encore de ce que je pourrais ou ne pourrais pas réaliser, alors je préfère parler d'un souvenir... la première fois où quelqu'un m'a fait l'amour. C'était aussi la première et unique fois où mon partenaire était un parfait inconnu et c'était il y a très peu de temps...

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Nous nous étions "rencontrés" via une annonce qu'il avait posté sur un site spécialisé, par curiosité je lisais les textes et regardait les photos. Il invitait un couple, étant une femme seule, je lui fis part de ma déception dans un premier mail. Je n'aurais jamais pensé répondre à une annonce, d'autant que je ne connaissais pas ce site auparavant et que les rencontres virtuelles m'ont toujours fait fuir. Alors pourquoi avoir répondu ? Je ne sais pas, une envie irréfléchie, le message est donc parti.

Je ne m'attendais pas à une réponse. Cette dernière est pourtant arrivée et fut suivie par d'autres échanges de mails et pour finir, nous nous sommes donné rendez-vous, à l'hôtel où il était, dans un premier temps pour prendre un verre... J'étais libre de partir ou de rester, cette liberté qui m'était offerte, un lieu public pour une première rencontre avec une personne que je n'avais jamais vue, m'ont rassurés, alors après tout, pourquoi pas me suis je dit !

mais en fait je ne me reconnaissais pas, moi qui suis de nature plutôt réfléchie, et sans être timide, je ne me serais jamais permis de rencontrer quelqu'un dans ces conditions ; encore moins d'envisager avoir une relation intime avec quelqu'un pour qui je n'avais aucun sentiment puisque je ne le connaissais pas. Etre soi-même, c'est à la fois être celui ou celle que l'on est tout en se laissant une chance de découvrir celui ou celle qui se cache ou qui, peut-être, n'a pas su trouver sa place. C'est accepter un tout, même la part d'ombre ou de lumière... Ce soir là, je me suis offert la permission d'être moi-même, de me découvrir comme je suis et non comme il faudrait que je sois en respectant mon éducation, les convenances, le rôle que je joue dans la société. 

Nous nous sommes rencontrés devant l'hôtel puis devant un verre, nous avons fait un peu connaissance, simplement. C'était étrange, tout était tellement facile, tellement évident à ce moment-là et par la suite également ; le plus difficile était de s'autoriser soi-même à être soi sans y songer, sans prendre la pein de se juger soi même. Nous étions là, tous les deux, face à face. Je mentirais si je disais que je n'étais pas un peu nerveuse. Bien sûr, je savais pourquoi j'étais là mais je ne savais pas ce que je déciderai une fois le verre terminé ; partir ? Rester ? Et si oui, s'abandonner ? Le pourrais-je vraiment le moment venu?

C'est alors qu'il s'est levé. Il s'est approché de moi et ses lèvres se sont posées sur les miennes. Sa langue est venue au contact de la mienne toute en douceur et en profondeur. Le temps s'est arrêté, les pensées se sont envolées... les doutes aussi. 
- As-tu pris t'a décision ? Tu pars ?
- Je partirai .... plus tard...

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Une fois dans l'intimité de la chambre, nos bouches se sont rencontrées de nouveau, nos mains ont pris possession de nos corps encore habillés, peu à peu, nos vêtements ont rejoint le sol, et nos corps se sont dénudés. Découverte de l'autre, abandon de soi, aucun tabou, liberté totale... Caresses des mains, des lèvres, de la langue, doucement puis plus vite, mais pas trop ; encore, oui, sentir le désir inonder son corps et celui de l'autre pour enfin fusionner dans une jouissance ultime... Ne rester qu'un plusieurs minutes après, puis l'apaisement, quelques mots échangés sur l'oreiller ; et puis recommencer ....

 

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A la fin, se quitter, le sourire aux lèvres, heureux d'avoir partagé un moment agréable alors que trois heures et demie avant, nous ne nous connaissions pas ou si peu. Il ne m'a pas été facile de raconter ce souvenir, de mettre des mots sur des sensations, je garde en mémoire des images, des séquences ; mon corps lui se rappelle, il sait, se souvient de tout et me le fait savoir. Je ne sais pas si j'ai atteint l'orgasme ce soir-là ; et si je ne le sais pas, c'est que probablement pas. Mais ce n'était pas important, ce n'est pas important, j'ai envie de recommencer. 

Par cortx
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Mardi 13 août 2 13 /08 /Août 15:07

J'avais reçu ce mail barjo, d'un type que je ne connaissais pas, juste parce que j'avais passé une petite annonce pour vendre un vieil appareil de massage. Sur le coup ça m'a énervée, et puis finalement de l'énervement à l'excitation, il n'y a qu'un pas alors je décidais de lui répondre.

A : Lili-rose@free.fr
De : bobrun69@yahoo.fr

Objet : réponse à votre message à propos de mon appareil de massage

Bonjour Marc, 
Moi c'est Lili, d'abord j'ai été choquée par votre message mais ma chatte est encore toute mouillée a la suite de la lecture de votre mail ... Hum imaginer cette bite dressée à quelques centimètres de mes lèvres sans pouvoir y goûter avant d en recevoir l'ordre . Mes tétons sont durs vous pouvez les pincer. J'ai enfin l'autorisation de vous sucer mais vous me tenez par les cheveux. C'est vous qui décidez si je dois la gober entièrement. Je dois vous regarder en vous suçant . A présent votre queue s'enfonce jusqu à l'entrée de ma gorge et je sens vos couilles sur mon visage. Je n'ai pas l'habitude de sucer autant les queues vous savez, mais là je n ai pas le choix, je dois vous obéir si je ne veux pas être punie...

 

J'en reviens pas d'avoir écrit ça, je suis folle ou quoi? C'est venu tout seul en fait, si Patrick voyait ça, rien que d'y penser ça me fait rougir... et zut et rezut, ça m'excite encore. Bon allez, envoyer ! C'est parti, maintenant je m'habille et je pense à autre chose, zou !
Je suis allée faire les courses, passée à la mairie récupérer les papiers pour refaire mon passeport et me voilà de retour à la maison, il est midi passé et je ne pense qu'à un truc, retourner voir ma boite mail, si Marc m'a répondu... Je pose à peine mes affaires et je me précipite sur l’ordi, qu’est-ce qu’il est lent à démarrer, faudra que je dise à Patrick qu’il regarde ça, c’est insupportable. Allez ouvre-toi, pfff ça fait bien trois minute que ça mouline ce truc, ah ça y’est, Firefox, Webmail, mon mot de passe, oulah, 18 nouveaux mails… mais non j’y crois pas, aucun de Marc, quel con ce mec, il me branche et après il me laisse tomber, quel allumeur, mince alors j’en reviens pas. Enfin, ça fait à peine trois heure que je lui ai écrit, peut-être il bosse le matin et il lit ces mails à la pause déjeuner. Bon je lui donne sa chance jusqu’à quatorze heure.
J’avale un truc rapide, j’ai pas faim, je vais me faire une petite téloche, le journal de 13h ça va me distraire, en fait non, je vais plutôt regarder Canal. 13h42, et si j’allais voir, si il a lu ses mails à l’heure de la pause, il a eu le temps de me dépondre normalement.
Et me revoilà devant l’ordi, je l’avais pas arrêté par précaution, ça va plus vite comme ça, trois nouveaux mails et… yes ! il est là, trop cool, vite je clique pour le lire.


De : bobrun69@yahoo.fr
A : Lili-rose@free.fr


Objet : toujours excitée ?

Alors Lili, tu la sens ma bite dans ta bouche?
Tu es à genoux devant moi, je te tiens la tête par les cheveux et je lui imprime un lent va et vient, d'avant en arrière. Tes lèvres rouges enserrent mon sexe et lui appliquent une caresse divine, de temps en temps je m'arrête pour que tu me regarde, je vois tes yeux suppliants, tu en veux encore. Met tes mains derrière ton dos et garde les bien à cet endroit, si je te vois te servir de tes mains je te punie. A nouveau je reprends le va et vient puis je sors ma bite de ta bouche pour que tu la lèche, elle est dressée devant toi à quelques centimètres j'approche ta bouche, ta langue pointue s'approche doucement très doucement, ça y'est tu peux la lécher depuis le bout du gland, remonte la hampe jusqu'à mes couilles, prends en une dans ta bouche et suce là bien, je suis entièrement épilé mes couilles sont toutes lisse et douce, quand je bande j'aime bien qu'on me suce les couilles. Garde tes mains dans ton dos surtout, tu ne dois pas les bouger, tu ne dois pas te caresser ni me toucher avec tes mains. Je frotte ma queue sur tes joues, ton nez, ton front, tes lèvres, elle est toute humide de ta salive, comme lubrifiée et luisante de ta mouille intime, elle glisse sur la peau de ton visage, regarde-moi, tu en veux encore?

 

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Je te mets debout, je passe dans ton dos attrape tes mains et les remonte derrière ta tête, voilà garde les ici, ne les bouge pas sinon je t'attache. Je suis debout derrière toi, ma queue frôle tes fesses, tu es complètement nue sauf des bas et un porte jarretelles, noirs, je frôle ton dos passe mes mains sur ton omoplate descend lentement jusqu'au creux de tes reins, je touche tes fesses, souples, fermes, élastiques, une claque sur la gauche, une seconde, la peau blanche rougie un peu, je frotte ma bite encore humide sur ta fesse rouge, la chaleur m'envahie, je me colle à toi maintenant, ma queue est raide et droite juste dans la raie de tes fesses, mes deux mains emprisonnent tes deux seins et les masses, j'aime te toucher les seins comme ça, je les caresse, je les pétris, je sens les bouts durs rouler entre mes doigts. Garde tes mains derrière ta tête, ne bouge pas. Je caresse tes aisselles, la peau est douce, fragile, je respire ton odeur ma tête dans tes cheveux ; lentement mes mains quittent tes seins et descendent sur tes hanches, ton ventre, je glisse un doigt autour du nombril, j'attrape tes hanches à pleine mains et imprime un mouvement vers moi qui branle ma queue toujours raide, dure et chaude entre tes fesses rebondies.

Tu me fais bander comme un âne, bientôt je vais te prendre, je ne sais pas encore comment, mais je vais te faire hurler ton plaisir si tu es sage et docile avec moi...

 

J’en reviens pas, je relis le mail une deuxième fois, c’est dingue comme ça m’excite, je suis trempée, faut que je me calme, je vais pas me masturber comme une pucelle quand même, j’en suis pas là. J’ai une vie sexuelle épanouie, ça se passe très bien avec Patrick, il me fait jouir à chaque fois et on s’éclate au lit tous les week end, ben oui la semaine on n’a pas le temps, le boulot tout ça…
Comment ce Marc peut me mettre dans un état pareil, juste avec un petit mail ? allez faut que je me calme, je vais pas faire comme ce matin, je vais pas lui répondre de suite, je vais gentiment attendre un peu et me calmer d’abord, après on verra.

Par cortx - Publié dans : Elle
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Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 15:05

lui

J'ai toujours fantasmé sur les femme asiatiques, le mythe de la geisha, le kamasutra, les estampes japonaises... Beaucoup de choses en asie évoque le sexe et le plaisir, les femmes expertes et soumises, appèle aux fantasmes et à la libération de l'esprit.
Cette petite histoire inventée m'a été inspirée par un ami qui me racontait son retour de voyage d'affaire à Séoul et les pratiques commerciales locales... Vous je ne sais pas, moi ça m'a donné envie d'aller faire du business là bas :-)

Patrick

 

J’avais passé la matinée à visiter le bureau d’étude de ce nouveau fournisseur Coréen et l’après-midi dans une négociation assez tendue qui finalement avait bien avancé. Avec moi Inchéol Min, mon homme de confiance à Séoul, et qui parlait couramment le français, l’anglais et surtout le Coréen, ce qui m’était bien utile. Toutes les discussions se faisaient en anglais mais les apartés de mes interlocuteurs asiatiques n’échappaient pas à Inchéol ce qui bien des fois m’avait tiré d’affaire pour renverser une situation.

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Comme nous étions proches d’un accord, le directeur commercial de la MH Tech proposa de prolonger la discussion autour d’un diner. Le président, le directeur de l’usine la responsable commerciale et la responsable du marketing se joindraient à nous. Etablir des relations personnelles est une caractéristique importante de la culture Coréenne, en affaire il est toujours bon de sacrifier à cette coutume et de lier amitiés aves ses partenaires commerciaux. Cette invitation était donc un bon signe comme Inchéol me le confirma d’un regard approbateur. J’acceptais donc volontiers l’invitation et nous partîmes donc dans la limousine du président de la compagnie.

J’étais le seul occidental, tous les autres parlaient un anglais très correct et l’atmosphère se détendit, la culture asiatique accorde une grande place au respect des anciens, le président, doyen d’âge de notre petit groupe s’était très peu exprimé cet après-midi, laissant la parole à ses directeurs et n’intervenant que lors de phases décisives pour débloquer la situation ou acter une décision. Quant aux deux femmes, elles n’avaient quasiment pas pris la parole, se contentant de prendre des notes et d’acquiescer de temps en temps.
Arrivés au restaurant, nous primes place dans un salon privé, assis à même le sol sur des coussins autour d’une vaste table dressée à la mode du pays.

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La décoration mêlait les références à la culture locale et le design plus contemporain pour en faire un lieu à la fois chic et épuré du meilleur goût. Sitôt arrivé et avant même que nous ayons commandé, une bouteille fut déposée sur la table et des verres se remplirent. Les coréens avaient la réputation d’être des sacrés picoleurs, refuser de boire aurait été un affront aussi j’allais devoir faire attention.. Le premier verre fut descendu cul sec, un sorte d’alcool fort que l’on aurait plutôt servie en digestif en France, ça commençait fort et le repas fut de la même veine, les bouteilles de rouge, du vin français en mon honneur sans doute, défilèrent et je dois bien dire qu’à la fin je ne me sentais plus tout à fait lucide… la cuisine délicieuse mais très épicée, les mélanges d’alcool, la tension accumulée dans la journée, la fatigue me tombait dessus et lorsqu’une des jeunes femme commença à se rhabiller suivie par les autres convives je n’étais pas fâché à l’idée de me retrouver bientôt dans mon lit.

Nous repartirent dans la même limousine, jusqu’à l’hôtel continental ou j’avais pris une suite. Arrivé sur place tout le monde descendit de la voiture et je saluais mes hôtes comme il se doit, le président me souhaita alors une très bonne nuit avec un air insistant et remonta dans sa voiture nous laissant Inchéol et moi en compagnie des deux Coréennes qui n’avaient toujours pas ouvert la bouche. Croyant à un oubli je m’avançais vers la limousine, Inchéol me retint par le bras. « Elles restent avec toi » me glissa-t-il discrètement dans l’oreille, « cadeau du président ». Je restais stupéfait mais cachait vite mon émotion pour interroger discrètement mon assistant, « comment ça elle reste avec moi, le président ne m’offre tout de même pas en cadeau sa responsable du marketing et… », Inchéol m’interrompit avec un sourire jusqu’aux oreilles, « ce sont des professionnelles, escort girl, des putes comme vous dites en français je crois, désole je croyais que tu avais compris ». Pour le coup j’étais vraiment interloqué, nous avions passé la journée à négocier en présences de deux putes juste pour que le président puisse me les « offrir » après le diner. Ce n’était pas la première fois que je travaillais avec la Corée, mais là je dois dire que je n’avais pas vu venir le cadeau. « Et pas question de refuser un cadeau du président si tu veux faire affaire » ajouta Inchéol avec un clin d’œil ? Dans les relations d’affaires, les Coréens attachaient de l’importance à deux choses, les échanges de carte de visites, dès que l’on était présenté à quelqu’un il vous remettait religieusement sa carte et vous deviez bien sur faire de même sous peine de passer pour un malpoli, et les petits cadeaux entre dirigeants qui s’échangeaient dans les occasions importantes ou à la signature de contrats. Pas question de refuser le cadeau en effet, Inchéol appela un taxi et me laissa avec les deux belles qui me suivirent jusqu’à ma suite sans plus de cérémonie.

Dans l’ascenseur je pris le temps de les regarder, deux belles filles à vrai dire, grandes pour des coréennes, minces mais avec des formes ou il faut, brunes avec les cheveux longs et épais caractéristiques des asiatiques, les yeux bridés mais pas trop, le nez sans doute refait presque à l’européenne, de grands yeux noirs en amande ; mais j’étais loin d’imaginer ce qu’elles étaient réellement, rien ne laissait deviner qu’il s’agissait d’escort girl. Maquillage efficace mais discret, tenues classiques d’un cadre féminin en Corée, tailleurs sombre, chemisiers blanc, quelques bijoux discrets également ; on était loin de l’image de la pute de luxe. Arrivés dans ma chambre les deux filles semblèrent s’animer enfin, toujours sans un mot mais avec beaucoup de détermination et d’efficacité, elles entreprirent de s’occuper de moi. Nous fumes bientôt tous les trois dans la chambre et mes deux accompagnatrices avaient entrepris de me déshabiller, en douceur, avec délicatesse et de manière très sensuelle. Je me suis vite retrouvé nu comme un vers allongé sur le lit avec une fille de chaque côté en petite tenue. Les tailleurs étaient tombés et elles étaient à présent seulement vêtue de dessous en dentelles qui désormais révélaient leur statut, soutien-gorge minimaliste, string dont on cherchait le tissu qui tenait la ficelle, porte jarretelles, bas ; mais je n’avais pas le temps de me livrer à la contemplation car les quatre mains rivalisaient d’adresse pour réveiller mes sens qui il y a quelques instants encore ne demandaient qu’à s’endormir.

Le moins que l’on puisse dire est que si elles ne s’embarrassaient pas avec la conversation, elles étaient diablement habile pour faire monter l’excitation. Mon sexe dressé était maintenant assailli par deux langues expertes qui montaient et descendaient du gland turgescent jusqu’aux couilles, ma bite entrait alternativement dans une bouche puis dans une autre et leur mains ne restaient pas inactives me caressant les cuisses, le torse, pas un centimètre de mon corps ne semblait échapper aux frôlements excitants. La fellation dura jusqu’à ce que je sois à deux doigts d’éjaculer, ce que les deux filles semblèrent anticiper puisqu’elles me laissèrent me calmer en m’offrant cette fois le spectacle de leurs deux corps enlacés le temps de l’échange d’un baiser prononcé. Le répit ne dura pas, l’une d’entre elle entreprit de me chevaucher, la seconde guidant ma bite dans sa chatte inondée ou elle pénétra d’un seul coup jusqu’à la garde. Le mouvement de va et vient commença, moi allongé sur le dos, une fille à califourchon sur ma queue, l’autre dans la même position sur la tête m’offrait sa chatte pour un adorable cuni. Les deux belles enlacées au-dessus de moi se roulaient des pelles goulues, le trio ainsi formé ne faisait plus qu’un ensemble de corps tout dévoué à la recherche du plaisir.

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Maintenant totalement réveillé et après avoir profité des initiatives des deux filles, je décidais de reprendre les choses en main. Elles se laissèrent faire docilement quand je les mis côte à côte à quatre pattes sur le lit, les deux croupes justes ornées des jarretelles noires, la ficelle ayant mystérieusement disparu, étaient tournées vers moi, les deux chattes ruisselantes et offertes étaient toutes à moi, je ne résistais pas longtemps et le plaisir de la contemplation laissa la place à celui de la pénétration, tour à tour je pilonnais une chatte puis une autre, puis revenais dans la première, saisissant les hanches pour accentuer le mouvement mon ventre cognait contre leurs fesses, ma bite défonçait leur vagin jusqu’au plus profond. Sur le point de jouir je me retirais et me mis debout offrant ma bite et mon sperme à la voracité des deux belles qui se ruèrent dessus et aspirèrent goulument les giclés de foutre qui jaillirent bientôt. Leur étreinte saphique se prolongea quelques minutes pendant lesquelles le sperme déversé, mêlé à la salive, passa d’une bouche à l’autre jusqu’à ce que finalement elles l’avalent. Elles se tournèrent alors vers moi l’air satisfait et le sourire aux lèvres, « Good job » dit l’une d’elle, « play again ? » renchérit l’autre ?

Par cortx - Publié dans : Lui
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Vendredi 9 août 5 09 /08 /Août 15:04

lui

Totalement imaginaire, mais inspirée d'une situation vécue. Il y a plus de femme que l'on croit qui fantasment d'humilier leur mari en se donnant à un autre homme sous ses yeux. Le mari y prendra simplement du plaisir ou en tirera une grande frustration, qui ne fera qu'augmenter le désir qu'il a pour sa compagne...Librement consentie la réalisation de ce genre de fantasme par les couples liberés est source de rapprochement des partenaires, attention à bien fixer les règle du jeux :-)

Patrick 

 

Depuis ce matin, les fesses plantées dans ce fauteuil à écouter des conférenciers qui débite leurs petites phrases au kilomètre, j’ai rarement vu un congrès des chirurgiens-dentistes aussi chiant.

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Vivement le cocktail et le repas gastronomique, l’année prochaine j’arriverai seulement à 17h pour le champagne, avant c’est vraiment trop chiant, en plus la clim à pas l’air au top, il commence à faire chaud, je vais piquer du nez ça ne va pas tarder, pourvu que je ne me mette pas à ronfler…
Ah, voilà, la conclusion, allez le président va nous mettre une petite piqure de rappel pour la cotisation annuelle et on va pouvoir y aller. Cinq cent personnes, le temps qu’on sorte tous, il n’y aura plus de champagne s’il faut, allez bougez vous, un peu, ça papote, ça papote, ou est la salle de restaurant déjà, ah une hôtesse qui a l’air de connaitre son métier, c’est par là. Bon je suis à table avec qui cette année ? Que des mecs, zut, bonjour l’ambiance, pourtant il y avait quelques greluches sympathiques dans la salle, j’aurais bien aimé faire connaissance. Finalement la soirée va être aussi chiante que le reste, je vais déjà m’installer, ça va faire venir les autres. « Bonsoir, oui je suis le premier, mais installez-vous donc ça va faire venir les autres et on pourra commencer ».


Ça fait bien trois quart d’heure que je suis là et il reste encore deux places de vide à la table, peut être il pourrait commencer à servir les dix qui sont là… « Je suis installé à Montpellier, oui c’est près de la mer, le climat ? Oh vous savez c’est le sud mais on en fait tout une histoire quand je bosse je ne suis pas à la plage ». Ah voilà les deux qui manquaient, un beau gosse et… tiens, une blonde. Dominique Vial, j’avais pensé à un mec mais c’est donc une femme ; pas mal en plus, un peu ronde peut être, enfin ça lui fait un joli décolleté ; bien coiffée, bien maquillée, jolis yeux bleus ; oui, pas mal du tout en fait, en plus elle s’est mis sur son trente et un, elle approche la quarantaine elle doit aimer se faire allumer mais surement encore une sainte nitouche. Et le beau gosse il va nous saouler longtemps ? Il vient d’arriver, il connait personne et il se prend pour le chef de table, c’est quoi ce charlot, vas y rigole bien a tes vannes pourries, j’ai horreur de ce genre de m’as tu vu prétentieux, qui parle plus fort que les autres pour se faire remarquer, allez voilà qu’il se lève pour porter un toast, et tous les autres qui embrayes, non mais il se croit où ?

Décidément ce n’était pas une réussite ce congrès, je ne sais pas si je reviendrai l’année prochaine, allez bientôt minuit, je vais aller chercher ma clé à la réception et dodo, évidement il y a la queue, tout le monde arrive en même temps.
- Vous allez déjà vous coucher ?
Je n’y crois pas, la Blonde qui m’allume, c’est le monde à l’envers.
- Si ça vous tente j’aimerais beaucoup prendre un dernier verre avec vous dans ma chambre, vous avez vu comment il a accaparé la parole pendant tout le repas ? Impossible d’en placer une, j’ai bien vu que ça vous énervait vous aussi, j’ai besoin de me détendre pas vous ?
- Pourquoi pas, un dernier verre, oui allons y. Ce n’est pas Marie Caroline qui me le reprochera, elle doit bien se faire des idées de toute façon sur mes congrès à Paris, alors autant que j’en profite.
Dans l’ascenseur le regard de Dominique s’est transformé, ses yeux bleus pétillaient, je sentais son pouls et les battements de son cœur s’accélérer ; elle a envie de se faire baiser ou je ne m’y connais pas, quelle salope, je n’aurais pas pensé ça au premier coup d’œil. Je la suis dans le couloir, elle a un beau cul, de jolies jambes, oui un peu trop ronde c’est bien ce que je pensais ; enfin je ne vais pas me plaindre, il y a de quoi passer un bon moment, d’ailleurs ça me fait déjà de l’effet je commence à bander, rien que de regarder ses jambes perchées sur ses talons aiguilles qui lui donnent une démarche et une cambrure tout ce qu’il y a de plus excitant… « Nous y voilà, je suis très impatiente… » Me dit elle en me jetant un nouveau regard torride. Elle introduit la carte magnétique dans la porte, la diode verte s’allume et la porte s’ouvre sur une suite magnifique, elle me laisse passer le premier et là…

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La douche froide, j’ai du débander en quelques micro secondes quand j’ai vu installé dans le fauteuil club à côté du lit king-size, le beau parleur qui nous a cassé les couilles tout le diner, c’est quoi cette embrouille ? Je me tourne vers Dominique, le regard interrogateur, elle me sourit comme si de rien n’était.
- Je ne t’ai pas dis, mon mari aime bien me regarder baiser, ça ne te dérange pas j’espère ?
- Comment ça ton mari ? tu veux dire que tu, lui, enfin vous… êtes mariés ?
- Oui c’est mon mari, on est marié, mais fait comme si il n’était pas là, tu verras il ne fait pas de bruit.
- Enfin, il y a surement un malentendu, je te trouve très belle mais je ne suis pas bi, ce n’est pas du tout mon truc.
- Non, non, rassure-toi, il regarde juste. Détends-toi, ça va bien se passer. En disant cela elle s’approche de moi, pose une main sur mon épaule et ses lèvres sur ma bouche, ce faisant son autre main s’aventure entre mes jambes pour tâter ma virilité ce qui je dois bien dire ne me laisse pas totalement indifférent. C’est dingue tout de même, je vais baiser la femme du connard prétentieux et sous ses yeux en plus, d’un coté ça m’excite mais de l’autre ça me met la pression, y’a intérêt que je sois à la hauteur sinon ils vont bien se foutre de ma gueule tous les deux. Ça gambergeait sur dans ma tête pendant que nos langues s’emmêlaient dans ma bouche, elle y allait pas avec le dos de la cuiller, quelle galoche, quelle salope ; voilà qu’elle fait glisser les bretelles de sa robe qui atterri par terre en laissant Dominique en petite tenue de dentelle noire. Des rondeurs oui, mais à croquer ! Oh ces seins, magnifiques je ne peux pas me retenir plus longtemps voilà que je l’attrape pas la taille et que je l’attire vers moi pour lui rendre son baiser en en profitant pour lui peloter le sein gauche. Pas farouche elle se colle à moi, son pubis en avant vient se frotter contre ma braguette, avec ses talons aiguilles elle est presque aussi grande que moi, je bande à nouveau pas d’inquiétude pour le moment. Je jette un coup d’œil au bellâtre, pour mater il mate, il n’en perd pas une miette en sirotant son champagne, faire comme si il n’était pas là, oui je vais plutôt suivre ce conseil sinon j’ai peur que ça nuise à la qualité de mon érection.
A propos d’érection, Dominique à pris les choses en mains si je puis dire… elle a carrément descendu ma braguette et elle cherche désespérément à sortir ma queue en tirant dessus. Je lâche sa bouche et pose mes mains sur ses épaules pour la pousser à descendre vers l’objet du désir, ça marche la voilà à genoux bien plus à l’aise pour sortir ma bite et la branler délicatement en la regardant sous toutes les coutures. J’attrape ses cheveux que j’enroule autour de mon poing et pousse sa tête vers moi, docilement elle ne se fait pas prier, ouvre la bouche et commence à sucer le bout du gland déjà bien gonflé et luisant. J’imprime à sa tête un mouvement de va et vient, petit à petit elle englouti ma queue de plus en plus profond dans sa bouche puis sa gorge. « Regarde moi quand tu me suces », elle lève les yeux vers moi et plante son regard dans le mien d’un air de défi, j’adore c’est trop bon.

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Toujours empoignée par les cheveux je la relève et la pousse sur le lit, la voilà sur le dos les jambes ouvertes, j’enlève sa culote attrape sa main et la pose sur ça chatte. Pas besoin de lui expliquer, elle commence à se caresser en me regardant, je me déshabille maladroitement, hypnotisé par ce sexe ruisselant à la toison soigneusement délimitée, et ces doigts qui excitent le clito et fourragent la fente ouverte. J’attrape une jambe et la force à se retourner, à quatre pattes, je vois son cul rebondi et bien cambré, les lèvres de sa chatte dodue, aucun poil apparent à l’arrière son petit trou bien fermé dont je m’occuperai tout à l’heure. A mon tour je glisse un doigt dans cette chatte ouverte, elle est trempée, je porte à mes lèvres et goutte Dominique qui ruisselle d’excitation et gémi à présent à chaque caresse. Une claque sur la fesse, un doigt puis deux dans la chatte, à mon tour je farfouille tantôt dedans tantôt massant les lèvres et le clitoris, de l’autre main je tente une approche vers son petit trou, un petit sursaut mais pas de résistance je me lèche le doigt et l’introduit délicatement dans l’anus de la belle qui frémit. Je la sens chaude, bouillante, ouverte, sans plus attendre j’introduis ma queue dans sa chatte et commence à la pilonner, cette fois elle ne gémit plus elle râle carrément et halète sous mes coups de boutoirs. Tandis que j’attrape ses deux seins à pleine main et les malaxe généreusement je sens sa main qui excite son clito et remonte sa caresse le long de ma bite jusque vers mes couilles. Pour être plus à l’aise et aller plus profond, je mets les deux pieds sur le lit et je continue d’aller et venir dans la chatte de Dominique quand je sens sa main se saisir de mon membre et le remonter un cran plus haut pour que je la sodomise. De bonne grâce je m’exécute et délicatement je force l’entrée de son anus et m’y enfonce de plus en plus jusqu’à la garde, sa main s’excite de plus en plus dans sa chatte et elle se met soudainement à crier, oui, oui, oui, crescendo jusqu’à l’orgasme qui m’emporte sur son passage et me fais jouir moi aussi. Elle s’effondre à plat ventre, je m’allonge a ses cotés nos corps en sueur atterrissent, lentement nous retrouvons nos esprits. Elle tourne la tête vers moi, me souris, « Tu m’as bien baisée, j’ai adoré, merci », je réalise alors que Monsieur est derrière nous et nous regarde, je me retourne, plus personne, il a quitté la chambre. « il est parti » me dit-elle, « il n’aime pas quand je lui fait ça, mais j’avais besoin d’une petite revanche et tu m’as bien aidé à la lui donner ». 

Finalement, je n’étais pas fâché que ces deux-là aient eu des comptes à régler…

Par cortx - Publié dans : Lui
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Jeudi 8 août 4 08 /08 /Août 15:03

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 Depuis le minitel (que je n'ai pas connu mais il parait que c'était déjà assez chaud), le virtuel donne la possibilité d'assouvir nombre de fantasmes. Cette petite histoire m'est arrivée l'année dernière, comme elle a durée plusieurs mois, je vais vous la raconter en épisodes pour vous tenir en haleine... Rassurez vous ça ne durera pas aussi longtemps :-)
L
es textes de mails repoduits ci dessous sont "d'origine"! les adresses mail sont inventées, pas la peine d'essayer lol!

Caroline

 

Je suis comme tout le monde, j'entasse des trucs et des machins à ne plus savoir qu'en faire, l’autre jour ça m’a pris, j’ai décidé de vider tous mes placards des vieilleries dont je n’avais plus besoin. Une cocote minute, Seb, le modèle original je suis sure ; un mixer, tiens du Moulinex cette fois, j’en ai deux autres dans la cuisine ; l’encyclopédie de « La médecine chez soi » en 10 volumes, rien que ça ; des fringues, jupes, robes, pantalons, manteaux ; des jeux pour enfants, à 15 et 19 ans m’étonnerais qu’il refasse le puzzle Winnie l’ourson… J’ai tous mis dans la chambre d’amis, la pièce était pleine, j’ai invité mes copines et leur ai dit de se servir, chouette, on s’est fait une bonne après-midi à fouiner dans ma petite brocante perso. Enfin bon, juste après il en restait bien la moitié, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de tout ça ? Essaye les petites annonces sur internet, m’a dit Carole, ah oui, bonne idée.

Et me voilà sur le site de petites annonce, ah les objets avec photo se vendent 7 fois plus que les autres ? Qu’à cela ne tienne je vais faire des photos. Une description détaillée permet d’éviter les messages inutiles des vendeurs ? Bon OK, allons-y dans les détails… deux jours, quarante-huit heures, pour passer toutes les petites annonces. J’ai eu beau faire des lots, il y en avait des dizaines, des centaines peut être, j’espère que ça va marcher, parce que tout ça pour rien ça me ferait mal.
Et oui ça a marché, quelques heures après seulement les premiers mails tombaient, est ce que j’accepte les paiements par chèque ? Ben oui ; est ce que j’ai un compte Paypal ? C’est quoi ça, ah ça à l’air pratique, oui j’en ai un maintenant. C’est La Poste qui va faire des affaires avec ma braderie géante sur le web.

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Mercredi matin, je me plante devant mon écran encore en petite nuisette, fraichement sortie du lit, et je parcours mes mails. C’est le deuxième qui m’a fait tomber à la renverse, un mail à propos d’un engin de massage que je m’étais acheté en 2006 après un séjour mémorable au ski dont j’étais revenu avec une minerve et une jambe dans le plâtre.

De : bobrun69@yahoo.fr
A : Lili-rose@free.fr
Objet : réponse à votre annonce : appareil de massage

Alors tu ne te sers plus de ton appareil de massage ? Tu as trouvé mieux pour t'exciter et mouiller ta petite culotte? Tant mieux on fait bien mieux depuis tu sais et rien ne vaut un peu d’activité cérébrale pour se mettre en train. Moi aussi ça m'excite de penser que la lecture de mon mail va te donner quelques frissons, voire quelque envie de glisser ton doigt sur ton petit abricot humide.
Je suis sûr que tu aimerais que j'y passe ma langue... pour cela il faudrait que tu sois bien sage et docile, que tu commences par me faire bander. Rien ne vaut une petite palpation manuelle, à travers le pantalon tu peux sentir ma bite gonfler si tu passes ta main entre mes jambes. Quand ce sera assez dur il te faudra défaire la ceinture puis la braguette et là tu pourras glisser ta main dans mon slip et sentir ma queue raide et chaude qui ne demande qu'à s'épanouir à l'extérieur, baisse mon fute et prends la donc à pleine main. Agenouille toi et regarde là, le gros gland est rouge, turgescent, brillant tellement il est tendu. Caresse-le délicatement du bout des doigts, tu sens comme c'est chaud et lisse et doux?
Ne me prend pas encore dans ta bouche, d'abord je veux te vois te caresser pour m'exciter davantage. Passe ta main sous ton tee shirt et caresse tes seins jusqu'à ce que les bouts soient bien durs, fais les rouler entre tes doigts, remonte ton tee shirt que je puisse voir...
Avec ton autre main, descend entre tes cuisse et passe un doigt dans ta culotte, tu mouilles déjà? fais-moi goûter ce doigt mouillé que je sente ton odeur, ça va m'exciter encore plus.
Allonge toi sur le dos et caresses toi la chatte, j'aime te regarder offerte et remplie du désir que je te prenne mais il va te falloir patienter encore un peu, continue à te caresser, glisse un doigt, puis deux, c'est bon? Tu as envie d'un coup de bite?
Tourne toi, met toi à quatre pattes et regarde ma bite, elle est tendue vers toi, tu vas la lécher doucement, comme tu ferais avec une glace à la vanille, passe le bout de ta langue sur mon gland, remonte le long de la queue jusqu'à mes couilles, prends en une dans ta bouche et suce là, doucement, c'est bon... revient sur ma queue et prend la dans ta bouche un peu plus, allez encore, plus profond, je veux que tu l'avale toute entière. Elle est longue, 21cm, mais il faut que tu t’entraînes à l'avaler en entier, sinon je ne te baiserai pas, voilà, encore un peu, bien au fond de ta gorge... super.
Tourne toi maintenant, montre-moi ton cul, belles fesse, je te mets une bonne claque sur le cul, tu aimes la fessée? Je t'écarte les fesses pour voir ta chatte par derrière, elle est belle et luisante de mouille, juste au-dessus ton petit trou du cul a l'air bien serré, tu as déjà pris une queue par-là? Peut être tout à l'heure j'y mettrai la mienne...
Envie de connaitre la suite? Dis-moi comment tu es, ce que tu aimes faire à un mec et ce que tu aimes qu'on te fasse. Je m’appelle Marc, je suis brun, yx bleus, j’ai 40 ans, je fais 1m80, 75kg, je suis bien monté, libertin, très coquin et j’adore baiser.

 

douche

Maboul le type, pourquoi il m’écrit tout ça à moi ? je le connais pas, qu’est qu’il s’imagine que ça va m’exciter ? Bon d’accord j’ai tout lu, jusqu’au bout… et non ça m’a pas excité, c’est juste que…, enfin si un peu, mais c’est pas lui, c’est les mots qu’il a écrit, voilà. Quand même on n’a pas idée d’envoyer ça à une inconnue, allez poubelle.


C’est en prenant ma douche que je me suis vraiment rendu compte que j’étais toute chose, Patrick était au boulot depuis un bon moment, j’étais toute seule à la maison et j’avais envie, de faire l’amour. C’est de sa faute je me suis dit, il m’a excitée cet imbécile avec son message à la con.


Sitôt sortie de la douche, j’enfile mon peignoir et je retourne devant mon ordi, la corbeille, ouf le message est toujours dedans, je vais pouvoir lui répondre.

Par cortx - Publié dans : Elle
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