Mercredi 7 août 3 07 /08 /Août 15:02

lui

 

Du vécu, à peine romancé, si ce n'est par mes fantasmes qui ont tendance à enjoliver un peu mes souvenirs, mais l'histoire c'est bien passée, telle que je la raconte ici au sortir de mon adolescence ou les femmes que l'on appelait pas encore des Cougars, voyait en moi un jeune male timide, facile à séduire, un bon coup sans lendemain, un objet sexuel propre à satisfaire leur désirs.

Patrick

 

Depuis 6 heures ce matin je ramassais les draps et les empilais dans le chariot à linge ; j’aime bien faire cette corvée parce que c’est avec Michèle l’aide soignante du service. Elle est cool Michèle, elle pourrait surement être ma mère, mais elle me prend pas pour un gamin, elle me fait même un peu de l’œil. Ça doit l’exciter qu’un petit jeune s’intéresse à elle ; moi en tout cas ça m’excite, m’imaginer lui faire l’amour, caresser ses seins, son corps, rien que d’y penser… faut dire à mon âge y’a pas besoin de grand-chose pour s’exciter, l’autre jour j’ai lu qu’à 20 ans un mec ça bandait toutes les 5 minutes. Sur le coup ça m’a paru beaucoup, et puis finalement non, depuis ce matin il y a eu les jambes de l’infirmière chef que j’ai croisé en arrivant, la bise avec Michèle quand elle est arrivée, le décolleté de Claire sa collègue du deuxième, les fesses de Martine quand elle s’est baissée pour ramasser les papiers qu’elle avait fait tomber… oui toutes les 5 minutes en moyenne, je doit pas être loin de ça.

 

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Enfin Michèle elle a un truc en plus quand même, c’est pas que ce soit un super canon, mais elle est plutôt bien foutue, assez mince avec des rondeurs ou il faut pour tendre sa blouse, blonde les cheveux courts, les yeux bleus et ce que j’aime le plus c’est son regard qui pétille quand elle me regarde. Je sais pas si ça fait ça tout le temps, mais quand elle me regarde j’ai vraiment l’impression de voir de l’excitation dans ces yeux, j’imagine sa respiration qui s’accélère, son cœur qui bat plus vite, ses seins… et voilà, il en faut pas plus pour m’exciter à nouveau. Donc la corvée de drap ce matin c’était chouette, on a changé tous les lits sur les trois étages du service de rééducation fonctionnelle de l’hôpital Ambroise Paré. Il y a bien une soixantaine de lit, avec Michèle on enlevait les draps, on les pliait et Martine et Joël refaisaient les lits derrière nous. On a rigolé souvent, c’est pas que mes blagues étaient très drôles, mais nos corps qui se frôlaient, nos mains qui se touchaient, nos regards qui se croisaient, tout ça créait une ambiance… électrique, alors ça devait être nerveux, ça nous faisait souvent rigoler, même si je disait une connerie.


Maintenant on a fini, Michèle va aller préparer les chariots à l’office pour servir les repas de midi, après on mangera tous ensemble et à 14h la journée sera terminée. Je vais descendre mes deux chariots de linge au sous sol pour que la lingerie vienne les récupérer ; il y a un petit train qui fait le tour des services et ramène tous les chariots en début d’après midi. Dans le monte charge je range mes deux chariots l’un derrière l’autre contre la paroi, il me reste un peu de place sur le coté pour appuyer sur le bouton -1 et descendre moi aussi les quatre étages. Au second l’ascenseur s’immobilise et la porte s’ouvre sur Maéva qui me regarde un sourire jusqu’aux oreilles. « Comment y va mon p’tit blanc aujourd’hui ? »

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Maéva, c’est l’infirmière du deuxième, une black ou une fille des iles je sais pas trop, en tout cas elle est bien black. Elle parle fort tout le temps, et elle me met la honte chaque fois que le la croise en me parlant comme à un gosse. Elle est plutôt costaud comme nana, j’y connais rien en tailles mais elle doit s’habiller en XL ; rien que pour loger sa paire de miche il faut du large. Quand elle rentre dans le monte charge, je me met à rougir comme un idiot, et évidement ça ne lui échappe pas. Sitôt la porte refermée dans le petit espace exigu qui n’est pas occupé par les chariot à linge elle se rapproche de moi et me regarde comme le chat qui mate la souris. Elle a des petites tresses sur la tête avec de boucles de couleur à chaque bout, un rouge à lèvre rouge foncé qui tranche avec sa peau noire, avec ses grosses lèvre ça lui fait une bouche d’enfer. J’avais jamais remarqué avant parce qu’en général je l’évite, mais elle a vraiment une bouche de suçeuse. Et voilà que direct elle me met la main entre les cuisses, pour tâter ma virilité, je sursaute, fait un bond en arrière et me retrouve coincé au fond de la cabine.
- Faut pas avoir peur mon p’tit blanc, tata Maéva elle va pas te manger. Oulala, mais il est tout rouge, qu’est ce qui t’arrive, t’aime pas que tata Maéva elle te tâte les couilles ?


Moi comme un idiot je bredouillais une réponse inintelligible. Heureusement on arrivait déjà au sous sol, la porte allait s’ouvrir et j’allais pouvoir respirer.
- Avec ces gros chariots de linge tu vas pas y arriver, je vais t’aider. Dit-elle en empoignant le premier chariot et en le tirant à l’extérieur. Je sors avec le second et lui indique le chemin vers la porte extérieure ou la lingerie vient récupérer les chariots, Maéva me suit, moi poussant mon chariot, elle tirant le sien et nous remontons le long couloir sous la lumière blafarde des néons.
- Il a un joli p’tit cul mon p’tit blanc. Et voilà qu’elle m’attrape par la ceinture et me tire vers la porte du vestiaire des hommes. Elle ouvre la porte et on se retrouve tous les deux à l’intérieurs, d’abord dans l’obscurité puis après quelques grésillement éclairés par le néon du plafond. Le vestiaire est sommaire, une dizaines de casiers métalliques, deux chaises, un vieux canapé avachi et une table basse. Sur les murs, du sol au plafond, des images pornos découpées dans des magazines, il y a de tout, des filles genre top model en maillot, des playmates seins nus, d’autres les cuisses largement ouvertes sur leur intimités, des blondes, des brunes, des rousses, seules ou en train de se faire besogner par des hommes tous plus musclés les uns que les autres.


- Ben dis donc, on s’ennui pas chez les garçons à ce que je vois ! ça t’excite tout ça ? y’a quand même mieux que le papier glacé, regarde. Et la voilà qui fait sauter les deux premiers boutons de sa blouse et me montre ses gros seins emprisonnés dans un soutien gorge rose bonbon.
- Tu as vu comme ils sont gros ? en plus ça m’a toute excitée ces photos moi, écoute mon cœur comme il bat. Elle me met le stéthoscope qui entourait son cou sur les oreilles, attrape ma main pour y glisser l’écouteur et plaque celle-ci sur son sein gauche.

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- Tu entends ? J’entendais rien, mais par contre je sentais bien sous ma main, la chair élastique de ce sein chaud qui frémissait et pour le coup la réaction entre mes jambes fut immédiate, je me mis à bander comme un âne, à en faire péter mon slip, d’un autre coté j’étais paralysé, je ne savais pas quoi faire pour reprendre le contrôle, tout ça allait trop vite pour moi l’excitation à son comble mêlée à la crainte du geste déplacé qui la ferait fuir, je ne savais quoi faire mais n’ai pas eu à réfléchir longtemps, déjà Maéva glissait sa main dans mon pantalon et tombait sur ma queue en rut.
- Dis donc, t’es bien monté pour un p’tit blanc mon mignon, fait voir ça à tata Maéva. Elle s’agenouilla devant moi baissa mon pantalon et mon slip sur mes chevilles et ma bite contempla ma bite dressée en son honneur.

Je ne savais plus ou me mettre, hypnotisé par cette femme à genoux devant moi, une main sur ma queue à quelques centimètres de sa bouche qui s’approchait. Les grosses lèvres de Maéva se posèrent alors sur mon sexe et je cru défaillir, quand elle passa sa langue sur mon gland, qu’elle remonta jusqu’à mes couilles en me léchant et qu’elle m’engloutit finalement tout entier je n’ai pas pu me retenir de jouir et ma semence a inondé sa bouche. Effrayé, j’ai cru que cela allait lui déplaire et qu’elle allait me laisser en plan, voire me cracher au visage ce foutre que j’avais trop top déversé mais pas du tout, elle se lécha les lèvres et se releva pour m’embrasser à pleine langue et j’ai pu moi aussi sentir l’odeur de mon sperme qui parfumait encore sa salive. Nos langues emmêlées dans un baiser fougueux ont eu sur moi un effet rassurant et c’est à ce moment que je me suis vraiment lâché. J’ai attrapé les deux pans de sa blouse et les ai écartés violement, les boutons qui restaient on sautés et Maéva s’est retrouvé en sous vêtement devant moi, à travers le soutien gorge j’ai attrapé les deux seins que j’ai pressés l’un contre l’autre avant de les embrasser tour à tour, j’avais encore ma tête entre les deux énormes globes mais déjà une main dans sa culotte ou je sentis vraiment à quel point elle était excitée. Dire qu’elle mouillait n’était qu’une piètre représentation de la réalité, en fait elle était trempée, inondée, mes doigts pénétraient dans sa chatte visqueuse de mouille et je la sentais frémir sous mes caresses. Je ne sais pas comment, elle s’est retrouvée à quatre pattes sur le vieux canapé, la culotte baissée, les seins ballottant libérés de tout vêtement, le cul offert et ma queue qui n’avait pas débandée allait et venait dans sa chatte ouverte. A grand coup de boutoir je la pilonnais, mes mains pétrissaient ses hanches et ses fesses généreuses, je ne sais pas lequel de nous deux y mettait le plus de cœur mais nos deux corps se projetaient l’un vers l’autre en un mouvement saccadé jusqu’au paroxysme du plaisir. Je l’ai entendue hurler, j’ai joui une nouvelle fois en elle et nous nous sommes effondrés sur le sol, l’un à coté de l’autre nos corps perlant de sueur.

 

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Je me réveille, par terre dans le vestiaire des hommes, nu, il fait froid. J’ai rêvé, non c’est impossible, Maéva, ses seins, son cul, cette pipe je n’ai pas pu rêver tout ça. Pourtant je suis seul comme un con dans le vestiaire, quelle heure est il, midi moins cinq, merdre les repas à servir, faut que je m’affole.

Je ramasse mes fringues qui jonchent le sol, sous ma blouse sur le carrelage, un petit bout de dentelle rose bonbon, elle est repartie sans sa culotte...

Par cortx - Publié dans : Lui
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Mardi 6 août 2 06 /08 /Août 15:00

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 Petit fantasme, inspiré, d'une histoire vraie, racontée par une copine. Les clubs de gym, tous ces corps en mouvement, ces muscles saillants, ces tenues moulantes qui ne cachent rien de ce que les hommes et les femmes ont de formes excitantes, cette sueur qui colle à la peau comme après un corps à corps, tout réveille en moi une libido qui n'en avait d'ailleurs pas besoin. J'espère que vous aimerez vous laisser emporter dans l'univers du club de gym...

Caroline 

 

On est en janvier, j'ai claqué 1200 euro au mois de septembre et je n'ai pas encore trouvé le courage d'aller mettre un orteil dans ce fichu club de gym. Pourtant la situation ne s'est pas arrangée, ce n'est plus 2 ou 3 kilos que j'ai à perdre mais bientôt une dizaine, je me traîne, je rentre plus dans aucun de mes soutiens gorge, j'ai du prendre au moins une taille de bonnet, je suis boudinée dans toutes mes jupes, et j'ai mauvaise conscience chaque fois que j'avale une sucrerie.

Au début Paul a eu l'air de trouver ça chouette, surtout les seins, le 90D ça devait le faire fantasmer ; quand on s'est rencontré il y a dix ans il m'avait dit que j'avais des petits seins, ça m'avait drôlement vexé à l'époque, je faisait du 85B tout de même, c'est dans la moyenne. Enfin depuis quelques semaines c'est plus vraiment ça, je sens bien que je l'excite plus comme avant, résultat voilà plus d'un mois qu'il ne m'a pas touchée. Pour le jour de l'an j'avais pourtant sorti le grand jeu, robe en strass, porte jarretelle, bas résille, string, la totale. J'avais peur que ça fasse un peu pute, résultat il ne m'a même pas regardé, il est rentré bourré comme un coing de notre réveillon chez les Lapierre et s'est couché direct tout habillé. Je suis restée toute seule dans mon string, alors que ma libido m'avait titillé toute la semaine avant cette soirée, la loose totale.

L'autre matin, j'ai pété les coutures de mon jean préféré alors là j'ai dis stop !
Lundi c'est juré j'y vais dans ce foutu club, "le centre de remise en forme qui allie énergie, vitalité, détente, et le plaisir de pratiquer une activité physique et sportive indispensable au bien être et à la santé" qu'ils disaient sur la pub. Le plaisir je sais pas encore mais les kilos il faut que ça cesse. 

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Toutes ces filles qui se la pètent grave dans leurs brassières dernier cri, Nike par ci, Adidas par là, j'ai l'impression d'être la seule à avoir un gros cul. Faut que je me bouge, faut que je me bouge. La fille à l'accueil, une espèce de fausse blonde façon Paméla Anderson m'a regardée comme si je m'étais trompée d'adresse. "Ah oui vous êtes bien inscrite depuis septembre. Faut dire on vous a pas vue beaucoup. Alors le programme du jour, à 12h30 vous avez abdo fessier pour 45mn, à 12h45 Zumba pour 1 heure et à la même heure il y a aussi un cours de cardio". Oui, bon zut, le vestiaire c'est par ou déjà, allez j'enfile la tenue que je me suis achetée à la rentrée, pourvu que je rentre encore dedans. Alléluia, ça passe, bon je dois pas être très sexy mais ça va le faire, allez zou dans la salle d'abdo fessiers, en souvenir de mon jean.

Il y a une dizaine de nana, pas mal dans l'ensemble, ça me saoule j'ai l'impressoin d'être la plus grosse, ah tiens un mec aussi, qu'est ce qu'il fait là, il s'est perdu? La gonflette c'est pas ici mon gars. Voilà la prof de gym, elle a bien une tête de prof de gym celle là, 25 ans, bien foutue, pas un poil de graisse, le maillot du club qui lui remonte les seins dans le décolleté. "Allez on commence, allongez vous pour faire le scarabée." Le scarabée? qu'est ce que c'est ce truc, y'a pas un cours pour débutant ou on explique les positions, je ne connais pas tout le kamasutra moi, zut voilà que ça me reprend, je me remet à penser cul, y'a pourtant que des nanas et ça m'a jamais beaucoup excité entre fille, et le mec ou il est au fait, mince juste derrière moi il va me mater le cul pendant toute la séance, faudra que je fasse gaffe la prochaine fois. Lever la jambe, baisser la jambe, après le scarabée, le pédalo et après le pédalo le chien, je sue à grosses goutes, elles transpirent pas les autres? comment elles font? Et l'autre derrière qui continue à me reluquer, je l'ai bien vue tout à l'heure. Remarque il est pas mal, si il disait oui je dirais pas non, brun, ténébreux juste ce qu'il faut pour pas faire macho, les yeux clairs, gris ou bleus j'ai pas bien vu, plutot baraqué, pas très grand mais je suis pas grande non plus, le juste au corps moule burne par contre c'est pas du meilleur goût, enfin si il voulait montrer qu'il en avait c'est réussi, il bande ou il a mis une orange dans son slip? Un petit sourire?... connard, t'es pas obligé de faire celui qui me calcule pas, je sais me tenir, je vais pas te sauter dessus dans le vestiaire.    

"Vous avez été super, on termine avec une petite relaxation" ben c'est pas trop top, je suis lessivée moi, j'en peux plus, tout compte fait je me demande si je vais pas rester grosse et m'acheter des sex toys pour me faire du bien, tant pis pour Paul, ouf ça y'est cette fois c'est bien terminé, ah tout le monde se fait la bise? ok, on dégouline et on sent pas la rose mais si c'est la traidition pourquoi pas. Tiens le beau brun qui cherche mon regard maintenant, ça y'est je t'interesse maintenant que tu m'a vu bouger ma graisse?
 - Je ne vous ai jamais vu ici, c'est la première fois que vous venez à ce cours?  
Ben oui tu vois bien
- Oui, je me suis décidé la semaine dernière, les bonnes résolution du début d'année
- Après l'effort je vous conseille un petit tour dans la piscine pour se détendre et ensuite un petit sauna, après ça vous êtes parée pour attaquer l'après midi en pleine forme. vous m'accompagnez?
- Le sauna? jamais essayé, je ne sais pas si ça va me plaire
- Première fois aussi pour le sauna? n'hésitez pas vous allez voir c'est extra

Et nous voilà dans la piscine, coté bain à remous à papoter comme si on se connaissait. Enfin c'est surtout lui qui papote, il me branche ou il me prend pour sa meilleure copine? Décidément il est pas mal, bronzé, beau torse imberbe, pas un poil, il doit s'épiler c'est pas possible, ça s'épile les mecs maintenant? J'imagine si je demandais ça à Paul... Ah et un beau cul aussi, comme je le suis vers le sauna c'est moi qui mate maintenant, il s'appelle Lucas, il est consultant, je sais pas ce que c'est mais ça en jette quand il le dit. Ouah c'est quoi ce sauna, c'est tout petit, on est que tous les deux, c'est un traquenard ou quoi? Quand je pensais que je dirais pas non je pensais pas que la question se poserai tout de suite et voilà que ça gamberge à toute vitesse dans ma tête, je sens mon coeur qui s'accélère et une sensation de chaleur dans mon ventre, pas la peine de me mentir, ça ne peut pas être que le sauna, je suis excitée comme une gamine, je mouille, si il me saute pas dessus je fais un malheur voilà.

Sauna

 

On est là, tous les deux, lui un serviette autour de la taille, dessous je ne sais pas ; moi enroulée dans une serviette qui me cache les seins jusqu'au haut des cuisses et dessous ma culotte. Il continue de parler et j'ai envie qu'il arrête, quitte à se servir de sa langue autant que ce soit pour autre chose. J'ai envie de la sentir dans ma bouche, que sa langue s'enroule avec ma langue ; j'ai envie de le sentir sur mon corps, qu'il me lèche les seins, qu'il fasse se dresser et durcir les tétons, qu'il les palpe à pleines mains, qu'il les pétrisse, qu'il les malaxe ; j'ai envie qu'il arrache mas serviette et ma culotte, qu'il me bouffe la chatte, que sa langue me titille le clito, me pénètre, qu'il boivent ma mouille, qu'il me doigte, fort, très fort, j'ai envie de son sexe dans ma bouche, de le sentir frémir, durcir, se tendre, de voir le gland brillant, turgescent, dressé de désir vers moi ; j'ai envie de l'avoir dans ma chatte, qu'il me pilonne, qu'il me défonce. J'ai envie de jouir, la maintenant, comme une salope offerte au premier venu, tout de suite...

- Alors première impression du sauna, ça va? pas trop chaud? tu verras c'est super relaxant quand tu auras pris une bonne douche tu te sentira revigorée.
- Tu crois? ça donne vraiment très chaud, je me sent toute bizarre à l'intérieur. 
- Encore 5 minutes et on va arrêter, tu reviens quand au club? moi j'y suis tous les lundis et jeudis, le jeudi je fais du cardio c'est pas mal aussi.
- Je sais pas encore, j'ai pas vraiment fait de planning.
- Bon de toute façon on se recroisera surrement, allez faut que j'y aille, je prend un douche et je fille au boulot, passe une bonne fin de journée et au plaisir.
- Oui, c'est ça, au plaisir...

Au plaisir, au plaisir, il en a de bonnes ce salaud, pour le plaisir je repasserais si je comprend bien. Pour le moment il ne me reste plus que la douche pour me faire un peu de bien.

 

 

 

 

 

 

Par cortx - Publié dans : Elle
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Lundi 5 août 1 05 /08 /Août 14:50

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Je n’ai jamais été ce que l’on appelle un dragueur. Pas par timidité mais je trouvais un peu lourdingue d’aborder les filles et de leur faire du rentre dedans, ça ne m’a jamais paru une bonne manière de les séduire et j’ai toujours préféré y aller doucement avec plus de subtilité. Avec Natacha je ne sais pas ce qui m’a pris, sans doute son regard et son attitude provocants. Je l’ai rencontré dans un salon professionnel, on se connaissait déjà par téléphone depuis plusieurs années et on avait eu l’occasion de discuter et plaisanter à maintes reprises. La voir pour la première fois a été un choc, grande mince, les cheveux longs et blonds, un regard bleu magnifique. Une femme superbe, qui ne laissait manifestement pas indifférents les hommes qu’elle croisait.
Nous avions rendez vous pour discuter de sa nouvelle gamme de produit à 17h00, je suis arrivé en retard après une journée exténuante ou j’avais rencontré la plupart de mes fournisseurs dans un marathon de meeting de 30 à 45 minutes chacun. Le rendez vous avec Natacha était le dernier et j’y arrivai un peu plus décontracté, voyant la fin de la journée approcher.

D’emblée elle a commencé à me chambrer sur mon retard, me disant que si elle me livrait mes commandes avec la même ponctualité je n’apprécierais pas… etc C’est là que je lui ai répondu que je devais me faire pardonner et que pour cela je l’invitais à prendre un verre ; à ma grande surprise elle a accepté avec enthousiasme, me demandant même à quel hôtel j’étais descendu. Sans doute le hasard a-t-il forcé le destin car nous étions dans le même, allons y me dit elle alors, mon assistant rangera le stand avant la fermeture du salon.


Et nous voilà partis vers notre hôtel, dans le taxi je pu admirer ses jambes magnifiques que découvraient sa robe remontée bien au dessus de ses genoux, tout en continuant à discuter comme deux vieux amis. Et je ne sais pas par quel miracle nous nous sommes retrouvés tous les deux dans ma chambre, les idées les plus folles se bousculaient dans ma tête, et ma queue n’en menait pas large à l’étroit qu’elle état dans mon pantalon.
- Ne vous emballez pas Paul, je ne suis pas une fille facile. Me dit-elle en souriant. A ce moment j’ai quand même eu l’impression que tout dans son attitude démentait ce qu’elle me disait. Son regard était d’une intensité envoutante et elle me regarda comme si elle allait me déshabiller. Elle s’assit sur le canapé du coin salon et je lui servis une coupe de champagne, le mini bar était bien garni heureusement et nous trinquèrent.
- Asseyez vous donc sur le lit, et regardez moi. Me dit-elle. Comment me trouvez-vous ? Je suis telle que vous l’imaginiez depuis le temps qu’on se connait par téléphone ?
- Vous êtes une très belle femme. Je n’aurais jamais imaginé vous inviter dans ma chambre. Bredouillais-je, embarrassé par la situation. J’avais très envie d’elle à cet instant mais ne savais pas ou elle voulait en venir et je craignais de commettre un faux pas qui aurait rompu le charme. Tout ça allait un peu vite pour moi et je ne m’y étais pas préparé.
- Je vais vous surprendre encore, mais il y a une condition, c’est juste pour vos yeux…

 

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Je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire sur l’instant, puis je l’ai vu commencer à dégrafer son chemisier et l’enlever pour apparaitre devant moi en soutien gorge, un soutien gorge rose pale qui faisait pigeonner ses deux seins lourds ; ils tenaient à peine à l’intérieur et les aréoles étaient à peine cachées par les triangles de tissu. Et le strip tease continua, le soutien gorge atterri sur la moquette, bientôt rejoint par la jupe et les bas, Natacha était debout devant moi dans une petite culotte rose fushia qui avait la particularité d’être ouverte sur les fesses et dévoiler la naissance de la raie de son joli cul. Elle prenait manifestement plaisir à me dévoiler son corps sous toutes les coutures, et s’exhibait devant moi pour que je puisse l’admirer à loisir. J’en avais bien sur l’eau à la bouche et je sentais l’afflux de sang dans ma queue qui faisait durcir celle-ci comme jamais, menaçant de faire exploser ma braguette. Le spectacle n’était pas terminé et Natacha, confortablement allongée sur le canapé commença à se caresser tout le corps, de temps en temps elle humidifiait un doigt de salive pour aller ensuite titiller un téton ou son nombril.

C’était terriblement excitant, et les coups d’œil qu’elle me jetait par moment ne faisaient qu’ajouter à son plaisir d’être ainsi observée et au mien de profiter du spectacle. La petite culotte rose ne fut bientôt plus qu’un souvenir et les caresses se firent plus précises et localisées autour de son sexe. Presque totalement épilé, il ne restait que quelques poils blonds sur le pubis au dessus des lèvres qui étaient, elles, parfaitement lisses. Ses doigts continuaient de trouver le chemin de sa bouche, plus pour s’humidifier cette fois mais pour gouter le nectar prélevé sur sa chatte trempée ; la caresse continuait un doigt puis deux s’enfoncèrent délicatement dans l’orifice et les frémissements de plaisir incontrôlés commencèrent à parcourir le corps de Natacha qui gémissait doucement. La caresse se prolongea plusieurs minutes, une main se baladait des seins au ventre, l’autre excitait son clitoris et pénétrait sa chatte trempée.

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Elle me regarda droit dans les yeux, passa sa langue sur ses lèvres, le regard un peu flou avait perdu de son éclat et semblait perdu dans on fantasme, elle me regardait mais je ne sais pas si elle me voyait à ce moment là. Sa tête bascula soudain en arrière alors qu’un cri plus fort s’échappait de sa bouche ; emportée par le plaisir Natacha venait de jouir sous mes yeux et son corps tout entier tendu par l’orgasme était perlé de petite gouttes de sueur.


- Ça t’a plus ? me demanda-t-elle en se redressant su le canapé. Ses yeux étaient redevenus étincelants et le flou du regard s’était dissipé. Maintenant j’ai envie de faire l’amour. Joignant le geste à la parole elle s’approcha de moi et libéra ma queue qui n’en pouvait plus de ce spectacle, je ne me fis pas prier pour exhausser les vœux de Natacha qui pris à nouveau son pied cette fois sous mes caresses.

Par cortx - Publié dans : Lui
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