Lui

Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 15:05

lui

J'ai toujours fantasmé sur les femme asiatiques, le mythe de la geisha, le kamasutra, les estampes japonaises... Beaucoup de choses en asie évoque le sexe et le plaisir, les femmes expertes et soumises, appèle aux fantasmes et à la libération de l'esprit.
Cette petite histoire inventée m'a été inspirée par un ami qui me racontait son retour de voyage d'affaire à Séoul et les pratiques commerciales locales... Vous je ne sais pas, moi ça m'a donné envie d'aller faire du business là bas :-)

Patrick

 

J’avais passé la matinée à visiter le bureau d’étude de ce nouveau fournisseur Coréen et l’après-midi dans une négociation assez tendue qui finalement avait bien avancé. Avec moi Inchéol Min, mon homme de confiance à Séoul, et qui parlait couramment le français, l’anglais et surtout le Coréen, ce qui m’était bien utile. Toutes les discussions se faisaient en anglais mais les apartés de mes interlocuteurs asiatiques n’échappaient pas à Inchéol ce qui bien des fois m’avait tiré d’affaire pour renverser une situation.

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Comme nous étions proches d’un accord, le directeur commercial de la MH Tech proposa de prolonger la discussion autour d’un diner. Le président, le directeur de l’usine la responsable commerciale et la responsable du marketing se joindraient à nous. Etablir des relations personnelles est une caractéristique importante de la culture Coréenne, en affaire il est toujours bon de sacrifier à cette coutume et de lier amitiés aves ses partenaires commerciaux. Cette invitation était donc un bon signe comme Inchéol me le confirma d’un regard approbateur. J’acceptais donc volontiers l’invitation et nous partîmes donc dans la limousine du président de la compagnie.

J’étais le seul occidental, tous les autres parlaient un anglais très correct et l’atmosphère se détendit, la culture asiatique accorde une grande place au respect des anciens, le président, doyen d’âge de notre petit groupe s’était très peu exprimé cet après-midi, laissant la parole à ses directeurs et n’intervenant que lors de phases décisives pour débloquer la situation ou acter une décision. Quant aux deux femmes, elles n’avaient quasiment pas pris la parole, se contentant de prendre des notes et d’acquiescer de temps en temps.
Arrivés au restaurant, nous primes place dans un salon privé, assis à même le sol sur des coussins autour d’une vaste table dressée à la mode du pays.

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La décoration mêlait les références à la culture locale et le design plus contemporain pour en faire un lieu à la fois chic et épuré du meilleur goût. Sitôt arrivé et avant même que nous ayons commandé, une bouteille fut déposée sur la table et des verres se remplirent. Les coréens avaient la réputation d’être des sacrés picoleurs, refuser de boire aurait été un affront aussi j’allais devoir faire attention.. Le premier verre fut descendu cul sec, un sorte d’alcool fort que l’on aurait plutôt servie en digestif en France, ça commençait fort et le repas fut de la même veine, les bouteilles de rouge, du vin français en mon honneur sans doute, défilèrent et je dois bien dire qu’à la fin je ne me sentais plus tout à fait lucide… la cuisine délicieuse mais très épicée, les mélanges d’alcool, la tension accumulée dans la journée, la fatigue me tombait dessus et lorsqu’une des jeunes femme commença à se rhabiller suivie par les autres convives je n’étais pas fâché à l’idée de me retrouver bientôt dans mon lit.

Nous repartirent dans la même limousine, jusqu’à l’hôtel continental ou j’avais pris une suite. Arrivé sur place tout le monde descendit de la voiture et je saluais mes hôtes comme il se doit, le président me souhaita alors une très bonne nuit avec un air insistant et remonta dans sa voiture nous laissant Inchéol et moi en compagnie des deux Coréennes qui n’avaient toujours pas ouvert la bouche. Croyant à un oubli je m’avançais vers la limousine, Inchéol me retint par le bras. « Elles restent avec toi » me glissa-t-il discrètement dans l’oreille, « cadeau du président ». Je restais stupéfait mais cachait vite mon émotion pour interroger discrètement mon assistant, « comment ça elle reste avec moi, le président ne m’offre tout de même pas en cadeau sa responsable du marketing et… », Inchéol m’interrompit avec un sourire jusqu’aux oreilles, « ce sont des professionnelles, escort girl, des putes comme vous dites en français je crois, désole je croyais que tu avais compris ». Pour le coup j’étais vraiment interloqué, nous avions passé la journée à négocier en présences de deux putes juste pour que le président puisse me les « offrir » après le diner. Ce n’était pas la première fois que je travaillais avec la Corée, mais là je dois dire que je n’avais pas vu venir le cadeau. « Et pas question de refuser un cadeau du président si tu veux faire affaire » ajouta Inchéol avec un clin d’œil ? Dans les relations d’affaires, les Coréens attachaient de l’importance à deux choses, les échanges de carte de visites, dès que l’on était présenté à quelqu’un il vous remettait religieusement sa carte et vous deviez bien sur faire de même sous peine de passer pour un malpoli, et les petits cadeaux entre dirigeants qui s’échangeaient dans les occasions importantes ou à la signature de contrats. Pas question de refuser le cadeau en effet, Inchéol appela un taxi et me laissa avec les deux belles qui me suivirent jusqu’à ma suite sans plus de cérémonie.

Dans l’ascenseur je pris le temps de les regarder, deux belles filles à vrai dire, grandes pour des coréennes, minces mais avec des formes ou il faut, brunes avec les cheveux longs et épais caractéristiques des asiatiques, les yeux bridés mais pas trop, le nez sans doute refait presque à l’européenne, de grands yeux noirs en amande ; mais j’étais loin d’imaginer ce qu’elles étaient réellement, rien ne laissait deviner qu’il s’agissait d’escort girl. Maquillage efficace mais discret, tenues classiques d’un cadre féminin en Corée, tailleurs sombre, chemisiers blanc, quelques bijoux discrets également ; on était loin de l’image de la pute de luxe. Arrivés dans ma chambre les deux filles semblèrent s’animer enfin, toujours sans un mot mais avec beaucoup de détermination et d’efficacité, elles entreprirent de s’occuper de moi. Nous fumes bientôt tous les trois dans la chambre et mes deux accompagnatrices avaient entrepris de me déshabiller, en douceur, avec délicatesse et de manière très sensuelle. Je me suis vite retrouvé nu comme un vers allongé sur le lit avec une fille de chaque côté en petite tenue. Les tailleurs étaient tombés et elles étaient à présent seulement vêtue de dessous en dentelles qui désormais révélaient leur statut, soutien-gorge minimaliste, string dont on cherchait le tissu qui tenait la ficelle, porte jarretelles, bas ; mais je n’avais pas le temps de me livrer à la contemplation car les quatre mains rivalisaient d’adresse pour réveiller mes sens qui il y a quelques instants encore ne demandaient qu’à s’endormir.

Le moins que l’on puisse dire est que si elles ne s’embarrassaient pas avec la conversation, elles étaient diablement habile pour faire monter l’excitation. Mon sexe dressé était maintenant assailli par deux langues expertes qui montaient et descendaient du gland turgescent jusqu’aux couilles, ma bite entrait alternativement dans une bouche puis dans une autre et leur mains ne restaient pas inactives me caressant les cuisses, le torse, pas un centimètre de mon corps ne semblait échapper aux frôlements excitants. La fellation dura jusqu’à ce que je sois à deux doigts d’éjaculer, ce que les deux filles semblèrent anticiper puisqu’elles me laissèrent me calmer en m’offrant cette fois le spectacle de leurs deux corps enlacés le temps de l’échange d’un baiser prononcé. Le répit ne dura pas, l’une d’entre elle entreprit de me chevaucher, la seconde guidant ma bite dans sa chatte inondée ou elle pénétra d’un seul coup jusqu’à la garde. Le mouvement de va et vient commença, moi allongé sur le dos, une fille à califourchon sur ma queue, l’autre dans la même position sur la tête m’offrait sa chatte pour un adorable cuni. Les deux belles enlacées au-dessus de moi se roulaient des pelles goulues, le trio ainsi formé ne faisait plus qu’un ensemble de corps tout dévoué à la recherche du plaisir.

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Maintenant totalement réveillé et après avoir profité des initiatives des deux filles, je décidais de reprendre les choses en main. Elles se laissèrent faire docilement quand je les mis côte à côte à quatre pattes sur le lit, les deux croupes justes ornées des jarretelles noires, la ficelle ayant mystérieusement disparu, étaient tournées vers moi, les deux chattes ruisselantes et offertes étaient toutes à moi, je ne résistais pas longtemps et le plaisir de la contemplation laissa la place à celui de la pénétration, tour à tour je pilonnais une chatte puis une autre, puis revenais dans la première, saisissant les hanches pour accentuer le mouvement mon ventre cognait contre leurs fesses, ma bite défonçait leur vagin jusqu’au plus profond. Sur le point de jouir je me retirais et me mis debout offrant ma bite et mon sperme à la voracité des deux belles qui se ruèrent dessus et aspirèrent goulument les giclés de foutre qui jaillirent bientôt. Leur étreinte saphique se prolongea quelques minutes pendant lesquelles le sperme déversé, mêlé à la salive, passa d’une bouche à l’autre jusqu’à ce que finalement elles l’avalent. Elles se tournèrent alors vers moi l’air satisfait et le sourire aux lèvres, « Good job » dit l’une d’elle, « play again ? » renchérit l’autre ?

Par cortx - Publié dans : Lui
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Vendredi 9 août 5 09 /08 /Août 15:04

lui

Totalement imaginaire, mais inspirée d'une situation vécue. Il y a plus de femme que l'on croit qui fantasment d'humilier leur mari en se donnant à un autre homme sous ses yeux. Le mari y prendra simplement du plaisir ou en tirera une grande frustration, qui ne fera qu'augmenter le désir qu'il a pour sa compagne...Librement consentie la réalisation de ce genre de fantasme par les couples liberés est source de rapprochement des partenaires, attention à bien fixer les règle du jeux :-)

Patrick 

 

Depuis ce matin, les fesses plantées dans ce fauteuil à écouter des conférenciers qui débite leurs petites phrases au kilomètre, j’ai rarement vu un congrès des chirurgiens-dentistes aussi chiant.

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Vivement le cocktail et le repas gastronomique, l’année prochaine j’arriverai seulement à 17h pour le champagne, avant c’est vraiment trop chiant, en plus la clim à pas l’air au top, il commence à faire chaud, je vais piquer du nez ça ne va pas tarder, pourvu que je ne me mette pas à ronfler…
Ah, voilà, la conclusion, allez le président va nous mettre une petite piqure de rappel pour la cotisation annuelle et on va pouvoir y aller. Cinq cent personnes, le temps qu’on sorte tous, il n’y aura plus de champagne s’il faut, allez bougez vous, un peu, ça papote, ça papote, ou est la salle de restaurant déjà, ah une hôtesse qui a l’air de connaitre son métier, c’est par là. Bon je suis à table avec qui cette année ? Que des mecs, zut, bonjour l’ambiance, pourtant il y avait quelques greluches sympathiques dans la salle, j’aurais bien aimé faire connaissance. Finalement la soirée va être aussi chiante que le reste, je vais déjà m’installer, ça va faire venir les autres. « Bonsoir, oui je suis le premier, mais installez-vous donc ça va faire venir les autres et on pourra commencer ».


Ça fait bien trois quart d’heure que je suis là et il reste encore deux places de vide à la table, peut être il pourrait commencer à servir les dix qui sont là… « Je suis installé à Montpellier, oui c’est près de la mer, le climat ? Oh vous savez c’est le sud mais on en fait tout une histoire quand je bosse je ne suis pas à la plage ». Ah voilà les deux qui manquaient, un beau gosse et… tiens, une blonde. Dominique Vial, j’avais pensé à un mec mais c’est donc une femme ; pas mal en plus, un peu ronde peut être, enfin ça lui fait un joli décolleté ; bien coiffée, bien maquillée, jolis yeux bleus ; oui, pas mal du tout en fait, en plus elle s’est mis sur son trente et un, elle approche la quarantaine elle doit aimer se faire allumer mais surement encore une sainte nitouche. Et le beau gosse il va nous saouler longtemps ? Il vient d’arriver, il connait personne et il se prend pour le chef de table, c’est quoi ce charlot, vas y rigole bien a tes vannes pourries, j’ai horreur de ce genre de m’as tu vu prétentieux, qui parle plus fort que les autres pour se faire remarquer, allez voilà qu’il se lève pour porter un toast, et tous les autres qui embrayes, non mais il se croit où ?

Décidément ce n’était pas une réussite ce congrès, je ne sais pas si je reviendrai l’année prochaine, allez bientôt minuit, je vais aller chercher ma clé à la réception et dodo, évidement il y a la queue, tout le monde arrive en même temps.
- Vous allez déjà vous coucher ?
Je n’y crois pas, la Blonde qui m’allume, c’est le monde à l’envers.
- Si ça vous tente j’aimerais beaucoup prendre un dernier verre avec vous dans ma chambre, vous avez vu comment il a accaparé la parole pendant tout le repas ? Impossible d’en placer une, j’ai bien vu que ça vous énervait vous aussi, j’ai besoin de me détendre pas vous ?
- Pourquoi pas, un dernier verre, oui allons y. Ce n’est pas Marie Caroline qui me le reprochera, elle doit bien se faire des idées de toute façon sur mes congrès à Paris, alors autant que j’en profite.
Dans l’ascenseur le regard de Dominique s’est transformé, ses yeux bleus pétillaient, je sentais son pouls et les battements de son cœur s’accélérer ; elle a envie de se faire baiser ou je ne m’y connais pas, quelle salope, je n’aurais pas pensé ça au premier coup d’œil. Je la suis dans le couloir, elle a un beau cul, de jolies jambes, oui un peu trop ronde c’est bien ce que je pensais ; enfin je ne vais pas me plaindre, il y a de quoi passer un bon moment, d’ailleurs ça me fait déjà de l’effet je commence à bander, rien que de regarder ses jambes perchées sur ses talons aiguilles qui lui donnent une démarche et une cambrure tout ce qu’il y a de plus excitant… « Nous y voilà, je suis très impatiente… » Me dit elle en me jetant un nouveau regard torride. Elle introduit la carte magnétique dans la porte, la diode verte s’allume et la porte s’ouvre sur une suite magnifique, elle me laisse passer le premier et là…

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La douche froide, j’ai du débander en quelques micro secondes quand j’ai vu installé dans le fauteuil club à côté du lit king-size, le beau parleur qui nous a cassé les couilles tout le diner, c’est quoi cette embrouille ? Je me tourne vers Dominique, le regard interrogateur, elle me sourit comme si de rien n’était.
- Je ne t’ai pas dis, mon mari aime bien me regarder baiser, ça ne te dérange pas j’espère ?
- Comment ça ton mari ? tu veux dire que tu, lui, enfin vous… êtes mariés ?
- Oui c’est mon mari, on est marié, mais fait comme si il n’était pas là, tu verras il ne fait pas de bruit.
- Enfin, il y a surement un malentendu, je te trouve très belle mais je ne suis pas bi, ce n’est pas du tout mon truc.
- Non, non, rassure-toi, il regarde juste. Détends-toi, ça va bien se passer. En disant cela elle s’approche de moi, pose une main sur mon épaule et ses lèvres sur ma bouche, ce faisant son autre main s’aventure entre mes jambes pour tâter ma virilité ce qui je dois bien dire ne me laisse pas totalement indifférent. C’est dingue tout de même, je vais baiser la femme du connard prétentieux et sous ses yeux en plus, d’un coté ça m’excite mais de l’autre ça me met la pression, y’a intérêt que je sois à la hauteur sinon ils vont bien se foutre de ma gueule tous les deux. Ça gambergeait sur dans ma tête pendant que nos langues s’emmêlaient dans ma bouche, elle y allait pas avec le dos de la cuiller, quelle galoche, quelle salope ; voilà qu’elle fait glisser les bretelles de sa robe qui atterri par terre en laissant Dominique en petite tenue de dentelle noire. Des rondeurs oui, mais à croquer ! Oh ces seins, magnifiques je ne peux pas me retenir plus longtemps voilà que je l’attrape pas la taille et que je l’attire vers moi pour lui rendre son baiser en en profitant pour lui peloter le sein gauche. Pas farouche elle se colle à moi, son pubis en avant vient se frotter contre ma braguette, avec ses talons aiguilles elle est presque aussi grande que moi, je bande à nouveau pas d’inquiétude pour le moment. Je jette un coup d’œil au bellâtre, pour mater il mate, il n’en perd pas une miette en sirotant son champagne, faire comme si il n’était pas là, oui je vais plutôt suivre ce conseil sinon j’ai peur que ça nuise à la qualité de mon érection.
A propos d’érection, Dominique à pris les choses en mains si je puis dire… elle a carrément descendu ma braguette et elle cherche désespérément à sortir ma queue en tirant dessus. Je lâche sa bouche et pose mes mains sur ses épaules pour la pousser à descendre vers l’objet du désir, ça marche la voilà à genoux bien plus à l’aise pour sortir ma bite et la branler délicatement en la regardant sous toutes les coutures. J’attrape ses cheveux que j’enroule autour de mon poing et pousse sa tête vers moi, docilement elle ne se fait pas prier, ouvre la bouche et commence à sucer le bout du gland déjà bien gonflé et luisant. J’imprime à sa tête un mouvement de va et vient, petit à petit elle englouti ma queue de plus en plus profond dans sa bouche puis sa gorge. « Regarde moi quand tu me suces », elle lève les yeux vers moi et plante son regard dans le mien d’un air de défi, j’adore c’est trop bon.

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Toujours empoignée par les cheveux je la relève et la pousse sur le lit, la voilà sur le dos les jambes ouvertes, j’enlève sa culote attrape sa main et la pose sur ça chatte. Pas besoin de lui expliquer, elle commence à se caresser en me regardant, je me déshabille maladroitement, hypnotisé par ce sexe ruisselant à la toison soigneusement délimitée, et ces doigts qui excitent le clito et fourragent la fente ouverte. J’attrape une jambe et la force à se retourner, à quatre pattes, je vois son cul rebondi et bien cambré, les lèvres de sa chatte dodue, aucun poil apparent à l’arrière son petit trou bien fermé dont je m’occuperai tout à l’heure. A mon tour je glisse un doigt dans cette chatte ouverte, elle est trempée, je porte à mes lèvres et goutte Dominique qui ruisselle d’excitation et gémi à présent à chaque caresse. Une claque sur la fesse, un doigt puis deux dans la chatte, à mon tour je farfouille tantôt dedans tantôt massant les lèvres et le clitoris, de l’autre main je tente une approche vers son petit trou, un petit sursaut mais pas de résistance je me lèche le doigt et l’introduit délicatement dans l’anus de la belle qui frémit. Je la sens chaude, bouillante, ouverte, sans plus attendre j’introduis ma queue dans sa chatte et commence à la pilonner, cette fois elle ne gémit plus elle râle carrément et halète sous mes coups de boutoirs. Tandis que j’attrape ses deux seins à pleine main et les malaxe généreusement je sens sa main qui excite son clito et remonte sa caresse le long de ma bite jusque vers mes couilles. Pour être plus à l’aise et aller plus profond, je mets les deux pieds sur le lit et je continue d’aller et venir dans la chatte de Dominique quand je sens sa main se saisir de mon membre et le remonter un cran plus haut pour que je la sodomise. De bonne grâce je m’exécute et délicatement je force l’entrée de son anus et m’y enfonce de plus en plus jusqu’à la garde, sa main s’excite de plus en plus dans sa chatte et elle se met soudainement à crier, oui, oui, oui, crescendo jusqu’à l’orgasme qui m’emporte sur son passage et me fais jouir moi aussi. Elle s’effondre à plat ventre, je m’allonge a ses cotés nos corps en sueur atterrissent, lentement nous retrouvons nos esprits. Elle tourne la tête vers moi, me souris, « Tu m’as bien baisée, j’ai adoré, merci », je réalise alors que Monsieur est derrière nous et nous regarde, je me retourne, plus personne, il a quitté la chambre. « il est parti » me dit-elle, « il n’aime pas quand je lui fait ça, mais j’avais besoin d’une petite revanche et tu m’as bien aidé à la lui donner ». 

Finalement, je n’étais pas fâché que ces deux-là aient eu des comptes à régler…

Par cortx - Publié dans : Lui
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Mercredi 7 août 3 07 /08 /Août 15:02

lui

 

Du vécu, à peine romancé, si ce n'est par mes fantasmes qui ont tendance à enjoliver un peu mes souvenirs, mais l'histoire c'est bien passée, telle que je la raconte ici au sortir de mon adolescence ou les femmes que l'on appelait pas encore des Cougars, voyait en moi un jeune male timide, facile à séduire, un bon coup sans lendemain, un objet sexuel propre à satisfaire leur désirs.

Patrick

 

Depuis 6 heures ce matin je ramassais les draps et les empilais dans le chariot à linge ; j’aime bien faire cette corvée parce que c’est avec Michèle l’aide soignante du service. Elle est cool Michèle, elle pourrait surement être ma mère, mais elle me prend pas pour un gamin, elle me fait même un peu de l’œil. Ça doit l’exciter qu’un petit jeune s’intéresse à elle ; moi en tout cas ça m’excite, m’imaginer lui faire l’amour, caresser ses seins, son corps, rien que d’y penser… faut dire à mon âge y’a pas besoin de grand-chose pour s’exciter, l’autre jour j’ai lu qu’à 20 ans un mec ça bandait toutes les 5 minutes. Sur le coup ça m’a paru beaucoup, et puis finalement non, depuis ce matin il y a eu les jambes de l’infirmière chef que j’ai croisé en arrivant, la bise avec Michèle quand elle est arrivée, le décolleté de Claire sa collègue du deuxième, les fesses de Martine quand elle s’est baissée pour ramasser les papiers qu’elle avait fait tomber… oui toutes les 5 minutes en moyenne, je doit pas être loin de ça.

 

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Enfin Michèle elle a un truc en plus quand même, c’est pas que ce soit un super canon, mais elle est plutôt bien foutue, assez mince avec des rondeurs ou il faut pour tendre sa blouse, blonde les cheveux courts, les yeux bleus et ce que j’aime le plus c’est son regard qui pétille quand elle me regarde. Je sais pas si ça fait ça tout le temps, mais quand elle me regarde j’ai vraiment l’impression de voir de l’excitation dans ces yeux, j’imagine sa respiration qui s’accélère, son cœur qui bat plus vite, ses seins… et voilà, il en faut pas plus pour m’exciter à nouveau. Donc la corvée de drap ce matin c’était chouette, on a changé tous les lits sur les trois étages du service de rééducation fonctionnelle de l’hôpital Ambroise Paré. Il y a bien une soixantaine de lit, avec Michèle on enlevait les draps, on les pliait et Martine et Joël refaisaient les lits derrière nous. On a rigolé souvent, c’est pas que mes blagues étaient très drôles, mais nos corps qui se frôlaient, nos mains qui se touchaient, nos regards qui se croisaient, tout ça créait une ambiance… électrique, alors ça devait être nerveux, ça nous faisait souvent rigoler, même si je disait une connerie.


Maintenant on a fini, Michèle va aller préparer les chariots à l’office pour servir les repas de midi, après on mangera tous ensemble et à 14h la journée sera terminée. Je vais descendre mes deux chariots de linge au sous sol pour que la lingerie vienne les récupérer ; il y a un petit train qui fait le tour des services et ramène tous les chariots en début d’après midi. Dans le monte charge je range mes deux chariots l’un derrière l’autre contre la paroi, il me reste un peu de place sur le coté pour appuyer sur le bouton -1 et descendre moi aussi les quatre étages. Au second l’ascenseur s’immobilise et la porte s’ouvre sur Maéva qui me regarde un sourire jusqu’aux oreilles. « Comment y va mon p’tit blanc aujourd’hui ? »

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Maéva, c’est l’infirmière du deuxième, une black ou une fille des iles je sais pas trop, en tout cas elle est bien black. Elle parle fort tout le temps, et elle me met la honte chaque fois que le la croise en me parlant comme à un gosse. Elle est plutôt costaud comme nana, j’y connais rien en tailles mais elle doit s’habiller en XL ; rien que pour loger sa paire de miche il faut du large. Quand elle rentre dans le monte charge, je me met à rougir comme un idiot, et évidement ça ne lui échappe pas. Sitôt la porte refermée dans le petit espace exigu qui n’est pas occupé par les chariot à linge elle se rapproche de moi et me regarde comme le chat qui mate la souris. Elle a des petites tresses sur la tête avec de boucles de couleur à chaque bout, un rouge à lèvre rouge foncé qui tranche avec sa peau noire, avec ses grosses lèvre ça lui fait une bouche d’enfer. J’avais jamais remarqué avant parce qu’en général je l’évite, mais elle a vraiment une bouche de suçeuse. Et voilà que direct elle me met la main entre les cuisses, pour tâter ma virilité, je sursaute, fait un bond en arrière et me retrouve coincé au fond de la cabine.
- Faut pas avoir peur mon p’tit blanc, tata Maéva elle va pas te manger. Oulala, mais il est tout rouge, qu’est ce qui t’arrive, t’aime pas que tata Maéva elle te tâte les couilles ?


Moi comme un idiot je bredouillais une réponse inintelligible. Heureusement on arrivait déjà au sous sol, la porte allait s’ouvrir et j’allais pouvoir respirer.
- Avec ces gros chariots de linge tu vas pas y arriver, je vais t’aider. Dit-elle en empoignant le premier chariot et en le tirant à l’extérieur. Je sors avec le second et lui indique le chemin vers la porte extérieure ou la lingerie vient récupérer les chariots, Maéva me suit, moi poussant mon chariot, elle tirant le sien et nous remontons le long couloir sous la lumière blafarde des néons.
- Il a un joli p’tit cul mon p’tit blanc. Et voilà qu’elle m’attrape par la ceinture et me tire vers la porte du vestiaire des hommes. Elle ouvre la porte et on se retrouve tous les deux à l’intérieurs, d’abord dans l’obscurité puis après quelques grésillement éclairés par le néon du plafond. Le vestiaire est sommaire, une dizaines de casiers métalliques, deux chaises, un vieux canapé avachi et une table basse. Sur les murs, du sol au plafond, des images pornos découpées dans des magazines, il y a de tout, des filles genre top model en maillot, des playmates seins nus, d’autres les cuisses largement ouvertes sur leur intimités, des blondes, des brunes, des rousses, seules ou en train de se faire besogner par des hommes tous plus musclés les uns que les autres.


- Ben dis donc, on s’ennui pas chez les garçons à ce que je vois ! ça t’excite tout ça ? y’a quand même mieux que le papier glacé, regarde. Et la voilà qui fait sauter les deux premiers boutons de sa blouse et me montre ses gros seins emprisonnés dans un soutien gorge rose bonbon.
- Tu as vu comme ils sont gros ? en plus ça m’a toute excitée ces photos moi, écoute mon cœur comme il bat. Elle me met le stéthoscope qui entourait son cou sur les oreilles, attrape ma main pour y glisser l’écouteur et plaque celle-ci sur son sein gauche.

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- Tu entends ? J’entendais rien, mais par contre je sentais bien sous ma main, la chair élastique de ce sein chaud qui frémissait et pour le coup la réaction entre mes jambes fut immédiate, je me mis à bander comme un âne, à en faire péter mon slip, d’un autre coté j’étais paralysé, je ne savais pas quoi faire pour reprendre le contrôle, tout ça allait trop vite pour moi l’excitation à son comble mêlée à la crainte du geste déplacé qui la ferait fuir, je ne savais quoi faire mais n’ai pas eu à réfléchir longtemps, déjà Maéva glissait sa main dans mon pantalon et tombait sur ma queue en rut.
- Dis donc, t’es bien monté pour un p’tit blanc mon mignon, fait voir ça à tata Maéva. Elle s’agenouilla devant moi baissa mon pantalon et mon slip sur mes chevilles et ma bite contempla ma bite dressée en son honneur.

Je ne savais plus ou me mettre, hypnotisé par cette femme à genoux devant moi, une main sur ma queue à quelques centimètres de sa bouche qui s’approchait. Les grosses lèvres de Maéva se posèrent alors sur mon sexe et je cru défaillir, quand elle passa sa langue sur mon gland, qu’elle remonta jusqu’à mes couilles en me léchant et qu’elle m’engloutit finalement tout entier je n’ai pas pu me retenir de jouir et ma semence a inondé sa bouche. Effrayé, j’ai cru que cela allait lui déplaire et qu’elle allait me laisser en plan, voire me cracher au visage ce foutre que j’avais trop top déversé mais pas du tout, elle se lécha les lèvres et se releva pour m’embrasser à pleine langue et j’ai pu moi aussi sentir l’odeur de mon sperme qui parfumait encore sa salive. Nos langues emmêlées dans un baiser fougueux ont eu sur moi un effet rassurant et c’est à ce moment que je me suis vraiment lâché. J’ai attrapé les deux pans de sa blouse et les ai écartés violement, les boutons qui restaient on sautés et Maéva s’est retrouvé en sous vêtement devant moi, à travers le soutien gorge j’ai attrapé les deux seins que j’ai pressés l’un contre l’autre avant de les embrasser tour à tour, j’avais encore ma tête entre les deux énormes globes mais déjà une main dans sa culotte ou je sentis vraiment à quel point elle était excitée. Dire qu’elle mouillait n’était qu’une piètre représentation de la réalité, en fait elle était trempée, inondée, mes doigts pénétraient dans sa chatte visqueuse de mouille et je la sentais frémir sous mes caresses. Je ne sais pas comment, elle s’est retrouvée à quatre pattes sur le vieux canapé, la culotte baissée, les seins ballottant libérés de tout vêtement, le cul offert et ma queue qui n’avait pas débandée allait et venait dans sa chatte ouverte. A grand coup de boutoir je la pilonnais, mes mains pétrissaient ses hanches et ses fesses généreuses, je ne sais pas lequel de nous deux y mettait le plus de cœur mais nos deux corps se projetaient l’un vers l’autre en un mouvement saccadé jusqu’au paroxysme du plaisir. Je l’ai entendue hurler, j’ai joui une nouvelle fois en elle et nous nous sommes effondrés sur le sol, l’un à coté de l’autre nos corps perlant de sueur.

 

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Je me réveille, par terre dans le vestiaire des hommes, nu, il fait froid. J’ai rêvé, non c’est impossible, Maéva, ses seins, son cul, cette pipe je n’ai pas pu rêver tout ça. Pourtant je suis seul comme un con dans le vestiaire, quelle heure est il, midi moins cinq, merdre les repas à servir, faut que je m’affole.

Je ramasse mes fringues qui jonchent le sol, sous ma blouse sur le carrelage, un petit bout de dentelle rose bonbon, elle est repartie sans sa culotte...

Par cortx - Publié dans : Lui
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Lundi 5 août 1 05 /08 /Août 14:50

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Je n’ai jamais été ce que l’on appelle un dragueur. Pas par timidité mais je trouvais un peu lourdingue d’aborder les filles et de leur faire du rentre dedans, ça ne m’a jamais paru une bonne manière de les séduire et j’ai toujours préféré y aller doucement avec plus de subtilité. Avec Natacha je ne sais pas ce qui m’a pris, sans doute son regard et son attitude provocants. Je l’ai rencontré dans un salon professionnel, on se connaissait déjà par téléphone depuis plusieurs années et on avait eu l’occasion de discuter et plaisanter à maintes reprises. La voir pour la première fois a été un choc, grande mince, les cheveux longs et blonds, un regard bleu magnifique. Une femme superbe, qui ne laissait manifestement pas indifférents les hommes qu’elle croisait.
Nous avions rendez vous pour discuter de sa nouvelle gamme de produit à 17h00, je suis arrivé en retard après une journée exténuante ou j’avais rencontré la plupart de mes fournisseurs dans un marathon de meeting de 30 à 45 minutes chacun. Le rendez vous avec Natacha était le dernier et j’y arrivai un peu plus décontracté, voyant la fin de la journée approcher.

D’emblée elle a commencé à me chambrer sur mon retard, me disant que si elle me livrait mes commandes avec la même ponctualité je n’apprécierais pas… etc C’est là que je lui ai répondu que je devais me faire pardonner et que pour cela je l’invitais à prendre un verre ; à ma grande surprise elle a accepté avec enthousiasme, me demandant même à quel hôtel j’étais descendu. Sans doute le hasard a-t-il forcé le destin car nous étions dans le même, allons y me dit elle alors, mon assistant rangera le stand avant la fermeture du salon.


Et nous voilà partis vers notre hôtel, dans le taxi je pu admirer ses jambes magnifiques que découvraient sa robe remontée bien au dessus de ses genoux, tout en continuant à discuter comme deux vieux amis. Et je ne sais pas par quel miracle nous nous sommes retrouvés tous les deux dans ma chambre, les idées les plus folles se bousculaient dans ma tête, et ma queue n’en menait pas large à l’étroit qu’elle état dans mon pantalon.
- Ne vous emballez pas Paul, je ne suis pas une fille facile. Me dit-elle en souriant. A ce moment j’ai quand même eu l’impression que tout dans son attitude démentait ce qu’elle me disait. Son regard était d’une intensité envoutante et elle me regarda comme si elle allait me déshabiller. Elle s’assit sur le canapé du coin salon et je lui servis une coupe de champagne, le mini bar était bien garni heureusement et nous trinquèrent.
- Asseyez vous donc sur le lit, et regardez moi. Me dit-elle. Comment me trouvez-vous ? Je suis telle que vous l’imaginiez depuis le temps qu’on se connait par téléphone ?
- Vous êtes une très belle femme. Je n’aurais jamais imaginé vous inviter dans ma chambre. Bredouillais-je, embarrassé par la situation. J’avais très envie d’elle à cet instant mais ne savais pas ou elle voulait en venir et je craignais de commettre un faux pas qui aurait rompu le charme. Tout ça allait un peu vite pour moi et je ne m’y étais pas préparé.
- Je vais vous surprendre encore, mais il y a une condition, c’est juste pour vos yeux…

 

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Je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire sur l’instant, puis je l’ai vu commencer à dégrafer son chemisier et l’enlever pour apparaitre devant moi en soutien gorge, un soutien gorge rose pale qui faisait pigeonner ses deux seins lourds ; ils tenaient à peine à l’intérieur et les aréoles étaient à peine cachées par les triangles de tissu. Et le strip tease continua, le soutien gorge atterri sur la moquette, bientôt rejoint par la jupe et les bas, Natacha était debout devant moi dans une petite culotte rose fushia qui avait la particularité d’être ouverte sur les fesses et dévoiler la naissance de la raie de son joli cul. Elle prenait manifestement plaisir à me dévoiler son corps sous toutes les coutures, et s’exhibait devant moi pour que je puisse l’admirer à loisir. J’en avais bien sur l’eau à la bouche et je sentais l’afflux de sang dans ma queue qui faisait durcir celle-ci comme jamais, menaçant de faire exploser ma braguette. Le spectacle n’était pas terminé et Natacha, confortablement allongée sur le canapé commença à se caresser tout le corps, de temps en temps elle humidifiait un doigt de salive pour aller ensuite titiller un téton ou son nombril.

C’était terriblement excitant, et les coups d’œil qu’elle me jetait par moment ne faisaient qu’ajouter à son plaisir d’être ainsi observée et au mien de profiter du spectacle. La petite culotte rose ne fut bientôt plus qu’un souvenir et les caresses se firent plus précises et localisées autour de son sexe. Presque totalement épilé, il ne restait que quelques poils blonds sur le pubis au dessus des lèvres qui étaient, elles, parfaitement lisses. Ses doigts continuaient de trouver le chemin de sa bouche, plus pour s’humidifier cette fois mais pour gouter le nectar prélevé sur sa chatte trempée ; la caresse continuait un doigt puis deux s’enfoncèrent délicatement dans l’orifice et les frémissements de plaisir incontrôlés commencèrent à parcourir le corps de Natacha qui gémissait doucement. La caresse se prolongea plusieurs minutes, une main se baladait des seins au ventre, l’autre excitait son clitoris et pénétrait sa chatte trempée.

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Elle me regarda droit dans les yeux, passa sa langue sur ses lèvres, le regard un peu flou avait perdu de son éclat et semblait perdu dans on fantasme, elle me regardait mais je ne sais pas si elle me voyait à ce moment là. Sa tête bascula soudain en arrière alors qu’un cri plus fort s’échappait de sa bouche ; emportée par le plaisir Natacha venait de jouir sous mes yeux et son corps tout entier tendu par l’orgasme était perlé de petite gouttes de sueur.


- Ça t’a plus ? me demanda-t-elle en se redressant su le canapé. Ses yeux étaient redevenus étincelants et le flou du regard s’était dissipé. Maintenant j’ai envie de faire l’amour. Joignant le geste à la parole elle s’approcha de moi et libéra ma queue qui n’en pouvait plus de ce spectacle, je ne me fis pas prier pour exhausser les vœux de Natacha qui pris à nouveau son pied cette fois sous mes caresses.

Par cortx - Publié dans : Lui
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