Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 15:05

lui

J'ai toujours fantasmé sur les femme asiatiques, le mythe de la geisha, le kamasutra, les estampes japonaises... Beaucoup de choses en asie évoque le sexe et le plaisir, les femmes expertes et soumises, appèle aux fantasmes et à la libération de l'esprit.
Cette petite histoire inventée m'a été inspirée par un ami qui me racontait son retour de voyage d'affaire à Séoul et les pratiques commerciales locales... Vous je ne sais pas, moi ça m'a donné envie d'aller faire du business là bas :-)

Patrick

 

J’avais passé la matinée à visiter le bureau d’étude de ce nouveau fournisseur Coréen et l’après-midi dans une négociation assez tendue qui finalement avait bien avancé. Avec moi Inchéol Min, mon homme de confiance à Séoul, et qui parlait couramment le français, l’anglais et surtout le Coréen, ce qui m’était bien utile. Toutes les discussions se faisaient en anglais mais les apartés de mes interlocuteurs asiatiques n’échappaient pas à Inchéol ce qui bien des fois m’avait tiré d’affaire pour renverser une situation.

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Comme nous étions proches d’un accord, le directeur commercial de la MH Tech proposa de prolonger la discussion autour d’un diner. Le président, le directeur de l’usine la responsable commerciale et la responsable du marketing se joindraient à nous. Etablir des relations personnelles est une caractéristique importante de la culture Coréenne, en affaire il est toujours bon de sacrifier à cette coutume et de lier amitiés aves ses partenaires commerciaux. Cette invitation était donc un bon signe comme Inchéol me le confirma d’un regard approbateur. J’acceptais donc volontiers l’invitation et nous partîmes donc dans la limousine du président de la compagnie.

J’étais le seul occidental, tous les autres parlaient un anglais très correct et l’atmosphère se détendit, la culture asiatique accorde une grande place au respect des anciens, le président, doyen d’âge de notre petit groupe s’était très peu exprimé cet après-midi, laissant la parole à ses directeurs et n’intervenant que lors de phases décisives pour débloquer la situation ou acter une décision. Quant aux deux femmes, elles n’avaient quasiment pas pris la parole, se contentant de prendre des notes et d’acquiescer de temps en temps.
Arrivés au restaurant, nous primes place dans un salon privé, assis à même le sol sur des coussins autour d’une vaste table dressée à la mode du pays.

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La décoration mêlait les références à la culture locale et le design plus contemporain pour en faire un lieu à la fois chic et épuré du meilleur goût. Sitôt arrivé et avant même que nous ayons commandé, une bouteille fut déposée sur la table et des verres se remplirent. Les coréens avaient la réputation d’être des sacrés picoleurs, refuser de boire aurait été un affront aussi j’allais devoir faire attention.. Le premier verre fut descendu cul sec, un sorte d’alcool fort que l’on aurait plutôt servie en digestif en France, ça commençait fort et le repas fut de la même veine, les bouteilles de rouge, du vin français en mon honneur sans doute, défilèrent et je dois bien dire qu’à la fin je ne me sentais plus tout à fait lucide… la cuisine délicieuse mais très épicée, les mélanges d’alcool, la tension accumulée dans la journée, la fatigue me tombait dessus et lorsqu’une des jeunes femme commença à se rhabiller suivie par les autres convives je n’étais pas fâché à l’idée de me retrouver bientôt dans mon lit.

Nous repartirent dans la même limousine, jusqu’à l’hôtel continental ou j’avais pris une suite. Arrivé sur place tout le monde descendit de la voiture et je saluais mes hôtes comme il se doit, le président me souhaita alors une très bonne nuit avec un air insistant et remonta dans sa voiture nous laissant Inchéol et moi en compagnie des deux Coréennes qui n’avaient toujours pas ouvert la bouche. Croyant à un oubli je m’avançais vers la limousine, Inchéol me retint par le bras. « Elles restent avec toi » me glissa-t-il discrètement dans l’oreille, « cadeau du président ». Je restais stupéfait mais cachait vite mon émotion pour interroger discrètement mon assistant, « comment ça elle reste avec moi, le président ne m’offre tout de même pas en cadeau sa responsable du marketing et… », Inchéol m’interrompit avec un sourire jusqu’aux oreilles, « ce sont des professionnelles, escort girl, des putes comme vous dites en français je crois, désole je croyais que tu avais compris ». Pour le coup j’étais vraiment interloqué, nous avions passé la journée à négocier en présences de deux putes juste pour que le président puisse me les « offrir » après le diner. Ce n’était pas la première fois que je travaillais avec la Corée, mais là je dois dire que je n’avais pas vu venir le cadeau. « Et pas question de refuser un cadeau du président si tu veux faire affaire » ajouta Inchéol avec un clin d’œil ? Dans les relations d’affaires, les Coréens attachaient de l’importance à deux choses, les échanges de carte de visites, dès que l’on était présenté à quelqu’un il vous remettait religieusement sa carte et vous deviez bien sur faire de même sous peine de passer pour un malpoli, et les petits cadeaux entre dirigeants qui s’échangeaient dans les occasions importantes ou à la signature de contrats. Pas question de refuser le cadeau en effet, Inchéol appela un taxi et me laissa avec les deux belles qui me suivirent jusqu’à ma suite sans plus de cérémonie.

Dans l’ascenseur je pris le temps de les regarder, deux belles filles à vrai dire, grandes pour des coréennes, minces mais avec des formes ou il faut, brunes avec les cheveux longs et épais caractéristiques des asiatiques, les yeux bridés mais pas trop, le nez sans doute refait presque à l’européenne, de grands yeux noirs en amande ; mais j’étais loin d’imaginer ce qu’elles étaient réellement, rien ne laissait deviner qu’il s’agissait d’escort girl. Maquillage efficace mais discret, tenues classiques d’un cadre féminin en Corée, tailleurs sombre, chemisiers blanc, quelques bijoux discrets également ; on était loin de l’image de la pute de luxe. Arrivés dans ma chambre les deux filles semblèrent s’animer enfin, toujours sans un mot mais avec beaucoup de détermination et d’efficacité, elles entreprirent de s’occuper de moi. Nous fumes bientôt tous les trois dans la chambre et mes deux accompagnatrices avaient entrepris de me déshabiller, en douceur, avec délicatesse et de manière très sensuelle. Je me suis vite retrouvé nu comme un vers allongé sur le lit avec une fille de chaque côté en petite tenue. Les tailleurs étaient tombés et elles étaient à présent seulement vêtue de dessous en dentelles qui désormais révélaient leur statut, soutien-gorge minimaliste, string dont on cherchait le tissu qui tenait la ficelle, porte jarretelles, bas ; mais je n’avais pas le temps de me livrer à la contemplation car les quatre mains rivalisaient d’adresse pour réveiller mes sens qui il y a quelques instants encore ne demandaient qu’à s’endormir.

Le moins que l’on puisse dire est que si elles ne s’embarrassaient pas avec la conversation, elles étaient diablement habile pour faire monter l’excitation. Mon sexe dressé était maintenant assailli par deux langues expertes qui montaient et descendaient du gland turgescent jusqu’aux couilles, ma bite entrait alternativement dans une bouche puis dans une autre et leur mains ne restaient pas inactives me caressant les cuisses, le torse, pas un centimètre de mon corps ne semblait échapper aux frôlements excitants. La fellation dura jusqu’à ce que je sois à deux doigts d’éjaculer, ce que les deux filles semblèrent anticiper puisqu’elles me laissèrent me calmer en m’offrant cette fois le spectacle de leurs deux corps enlacés le temps de l’échange d’un baiser prononcé. Le répit ne dura pas, l’une d’entre elle entreprit de me chevaucher, la seconde guidant ma bite dans sa chatte inondée ou elle pénétra d’un seul coup jusqu’à la garde. Le mouvement de va et vient commença, moi allongé sur le dos, une fille à califourchon sur ma queue, l’autre dans la même position sur la tête m’offrait sa chatte pour un adorable cuni. Les deux belles enlacées au-dessus de moi se roulaient des pelles goulues, le trio ainsi formé ne faisait plus qu’un ensemble de corps tout dévoué à la recherche du plaisir.

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Maintenant totalement réveillé et après avoir profité des initiatives des deux filles, je décidais de reprendre les choses en main. Elles se laissèrent faire docilement quand je les mis côte à côte à quatre pattes sur le lit, les deux croupes justes ornées des jarretelles noires, la ficelle ayant mystérieusement disparu, étaient tournées vers moi, les deux chattes ruisselantes et offertes étaient toutes à moi, je ne résistais pas longtemps et le plaisir de la contemplation laissa la place à celui de la pénétration, tour à tour je pilonnais une chatte puis une autre, puis revenais dans la première, saisissant les hanches pour accentuer le mouvement mon ventre cognait contre leurs fesses, ma bite défonçait leur vagin jusqu’au plus profond. Sur le point de jouir je me retirais et me mis debout offrant ma bite et mon sperme à la voracité des deux belles qui se ruèrent dessus et aspirèrent goulument les giclés de foutre qui jaillirent bientôt. Leur étreinte saphique se prolongea quelques minutes pendant lesquelles le sperme déversé, mêlé à la salive, passa d’une bouche à l’autre jusqu’à ce que finalement elles l’avalent. Elles se tournèrent alors vers moi l’air satisfait et le sourire aux lèvres, « Good job » dit l’une d’elle, « play again ? » renchérit l’autre ?

Par cortx - Publié dans : Lui
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